Trainspotting: ‘good jobs’, training and skilled immigration
Alors que ceteris paribus de l’immigration qualifiée donne un coup de fouet immédiat au PIB par habitant en ajoutant au stock de capital humain de l’économie de réception, pourrait-il réduire aussi le nombre de « bons emplois », à savoir ceux qui ont une formation, à la disposition des travailleurs indigènes? Cet article analyse cette question théorique et empirique. Le modèle théorique montre comment l’immigration qualifiée peuvent affecter la répartition sectorielle du travail et la façon dont il peut avoir un effet positif ou négatif sur la formation et la mobilité sociale des travailleurs nés au Canada. L’analyse empirique utilise des données du Royaume-Uni de 2001 à 2018 pour montrer que les taux de formation des travailleurs nés au Royaume-Uni ont diminué dans une période où l’immigration a augmenté fortement, et ont diminué beaucoup plus dans les secteurs non échangeables des salaires élevés. Au niveau sectoriel mais ce lien est beaucoup moins forte, mais il existe des preuves de différents effets de l’immigration qualifiés de la bourse et les secteurs non marchands et la preuve que l’embauche des travailleurs nés au Royaume-Uni dans les secteurs non marchands salaires élevés a été affecté négativement par des soignants qualifiés l’immigration, même si cet effet est grand. Pris ensemble les analyses théoriques et empiriques donnent à penser que l’immigration qualifiée peut avoir un rôle dans l’allocation des travailleurs nés loin des secteurs «bons emplois, mais il est peu probable d’être un facteur majeur de la mobilité sociale. Traduit à l'aide de Google Translate