The interlocking oppressions of employment-related discrimination for internationally trained engineers in Canada
Le travail social a une longue histoire d’engagement avec les immigrants et les réfugiés. Cependant, le profil démographique des immigrants au Canada et leurs besoins changent. Au cours des dernières décennies ont vu une augmentation du nombre d’immigrants professionnels hautement qualifiés de pays non traditionnels d’immigration. Bien que généralement pas pensé dans la profession de travail social en tant que population vulnérable, ce groupe fait face à de multiples oppressions au Canada. Cet article présente les résultats de 20 entretiens approfondis avec des ingénieurs formés à l’étranger et leurs expériences de discrimination soit pendant la recherche de travail ou dans le lieu de travail après l’emploi a été fixé. Deux principales conclusions qui se dégagent de cette étude ont des informations importantes pour la pratique du travail social. Le premier indique les ingénieurs formés à l’étranger discriminé pour plusieurs axes se rapportant à leur identité sociale. La seconde révèle que quelques participants ne se considèrent pas comme des victimes de la discrimination, même si elles ont reconnu la discrimination pour être en jeu alors que d’autres comme eux ont été incapables de trouver des emplois comme ingénieurs. Les résultats remettent en question les vues traditionnelles qui constituent des populations vulnérables et bouleversent les notions de populations immigrées qui ont besoin l’intervention sociale seulement au moment où ils sont incapables de faire face à leurs adaptations culturelles et sociales. Les résultats mettent en évidence la nécessité d’une formation en travail social pour la formation des étudiants dans les domaines de la défense, lutte contre le racisme et la pratique anti-oppression afin de mieux répondre aux besoins de ces groupes. Traduit à l'aide de Google Translate