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The Canadian immigrant labour market: Recent trends from 2006 to 2017

Au Canada et au-delà, les employeurs font face à des défis dans le recrutement et la rétention du personnel qui ont les compétences dont ils ont besoin. Ces défis ne fera qu’augmenter la numérisation, l’automatisation et le changement d’intelligence artificielle les types de compétences que les employeurs ont besoin. McKinsey estime que 14% de la population active mondiale peut avoir besoin de changer d’emploi que la technologie transforme la nature du travail. Pour changer d’emploi, les travailleurs devront accroître les compétences de leurs compétences actuelles ou requalifier dans de nouveaux domaines. Pourtant, par rapport à leurs pairs de l’Organisation pour la coopération et le développement économique, les employeurs canadiens investissent relativement peu dans la formation. En moyenne, les employeurs canadiens ont dépensé 889 $ CAD par employé sur l’apprentissage et le développement 2016-2017. Pourtant, certains employeurs ont commencé à reconnaître la gravité de la question et prennent des mesures dramatiques. Dans un sondage auprès des cadres à 1.500 grandes entreprises, deux tiers ont dit que la lutte contre le déficit de compétences causées par l’automatisation et la numérisation a été parmi les 10 premières priorités à leur entreprise. De nombreuses entreprises développent des stratégies ambitieuses pour requalifier et accroître les compétences de leurs employés; par exemple, la Banque Scotia est engagée à investir 250 millions $ sur 10 ans pour créer une main-d’œuvre hautement qualifiée, alors que AT & T a investi 1 milliard $ à recycler près de la moitié de ses effectifs. Ce rapport examine la documentation sur les efforts des employeurs pour accroître les compétences et leurs employés, requalifier et examine l’efficacité et le retour sur investissement de diverses approches. En plus des programmes d’entreprise, il considère trois types d’investissement dans l’amélioration des compétences: reconversion professionnelle et l’investissement du gouvernement; Les partenariats public-privé, tels que le partenariat de Siemens avec le milieu universitaire et le gouvernement; et les compétences de formation dans le cadre de la responsabilité sociale des entreprises et de la philanthropie, comme l’engagement de la Banque Royale du Canada d’investir 500 millions $ pour aider les jeunes Canadiens se préparer aux emplois de demain. Bien qu’il n’y ait pas de consensus clair si le gouvernement ou les entreprises devraient être responsables, de nombreuses entreprises et l’amélioration des compétences prennent la requalification de plomb. Des études de cas de sociétés telles que Amazon, TD Bank, Accenture, et Wal-Mart montrent comment certaines organisations ont pris des petits pas en expérimentant avec des programmes pilotes et de nouveaux outils, tandis que d’autres ont mis au point des programmes complets pour recycler une grande partie de leur main-d’œuvre. Dans certains cas, comme chez Microsoft, ces initiatives prennent en charge à la fois l’entreprise et ses clients. Alors que les entreprises Progresser et des programmes de requalification amélioration des compétences, un manque de données empiriques, il est difficile de déterminer avec rigueur le succès et l’impact de ces programmes. De meilleures données sur le marché du travail, des définitions communes autour des compétences et des recherches pour mieux comprendre systématiquement la raison d’être des investissements des entreprises à requalifier, y compris le retour sur investissement, sont nécessaires pour mieux comprendre et améliorer les initiatives et la reconversion amélioration des compétences. En outre, les stratégies et reconversion professionnelle amélioration des compétences doivent construire des systèmes de mesure du rendement pour évaluer ce qui fonctionne et ce qui ne fonctionne pas. Comme la numérisation continue de changer le type de compétences que les employeurs ont besoin, il ne deviendra plus urgent pour les entreprises canadiennes à comprendre l’impact des programmes et la reconversion amélioration des compétences, et de créer une culture d’apprentissage continu pour que les employés ont les compétences dont ils ont besoin. Traduit à l'aide de Google Translate