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Persistent inequality: Canada’s colour-coded labour market

Dans cet article, nous présentons un portrait du marché du travail code couleur de l’Ontario de 2016 (les dernières données disponibles) et de le comparer à la façon dont les choses étaient en 2006. Dans l’ensemble, il y avait 3,9 millions de personnes racialisées vivant en Ontario en 2016, ce qui représente 29 % de la population de l’Ontario – une augmentation notable de 23% de la population en 2006. travailleurs racialisés en Ontario avait un taux de participation de la population active légèrement plus élevé que les travailleurs non racialisés (65,3% contre 64,5%) en 2016. Toutefois, les Ontariens racialisés continue à des taux de chômage plus élevés. Les femmes racialisées avaient le taux de chômage le plus élevé à 10%, suivi par les hommes racialisés à 8,7%, les hommes non racialisés à 7%, et les femmes non racialisées à 6,3%. Une répartition du travail de la main-d’œuvre met en lumière l’écart et racialisés sexuée du marché du travail. Les femmes racialisées étaient plus susceptibles d’être dans les professions les moins rémunérés. La part des femmes racialisées (25,1%) travaillent dans les professions qui sont les 10% du salaire moyen était de 66% plus élevé que la part des hommes non racialisés (15%). Les femmes non racialisées étaient légèrement moins susceptibles de travailler dans ces professions à bas salaires que les femmes racialisées (23,6%). La part des hommes racialisées dans ces professions les moins bien rémunérés (17,8%) était plus élevé que la part de ces modèles sont inversés pour les professions qui paie dans les 10% du salaire moyen des hommes non racialisés (15,1%). 11% des les hommes non racialisés travaillaient dans ces professions les mieux rémunérés, suivis de 8,8% des hommes racialisées, 5,7% des femmes non racialisés, et 5,5% des femmes racialisées. En bref, l’écart racialisés se trouve à la fois le fond et la partie supérieure de la distribution professionnelle. Ces expériences sur le marché du travail contribuent à l’écart salarial persistant: En 2015, les hommes racialisées gagnaient 76 cents pour chaque hommes non racialisés dollar gagné. Les femmes racialisées gagnaient 85 cents pour toutes les femmes non racialisées dollar gagné. Ces lacunes sont restées pratiquement inchangées depuis 2006. Les bénéfices reste du travail de discrimination sur le marché sexuelles et raciales: les femmes racialisées gagnaient 58 cents pour chaque hommes non racialisés dollar gagné. Il y a eu peu de progrès pour combler l’écart salarial entre les hommes et les femmes. Les femmes non racialisées gagnaient 69 cents pour chaque hommes non racialisés dollar gagné. Les femmes racialisées ont gagné 77 cents pour chaque dollar gagné hommes racialisés. Nous explorons aussi l’idée que les travailleurs racialisés dans le pire tirent marché du travail parce que beaucoup d’entre eux sont des immigrants, et tous les immigrants lutte avant de décrocher un bon travail. Nos résultats démontrent que tous les immigrants ont pas la même expérience. Parmi le premier âge (25-54 ans) les travailleurs, racialisées immigrants de sexe masculin gagnaient 70 cents pour chaque immigrants de sexe masculin non racialisées dollar gagné. les femmes immigrantes racialisées ont gagné 78 cents pour chaque dollar que les femmes immigrantes non racialisés gagné. Ces lacunes continuent dans la deuxième génération et au-delà. Deuxième génération des hommes racialisées gagnaient 78 cents pour chaque dollar de deuxième génération des hommes non racialisés gagnés. Deuxième génération des femmes racialisées gagnaient 64 cents pour chaque dollar hommes nonracialized deuxième génération gagné. Ces résultats soulignent la nécessité de l’Ontario pour faire face à la vérité inconfortable que son marché du travail ne soit pas accueillant également à tous les immigrants. Ils indiquent également que les différences dans les résultats des immigrants ne sont pas basées uniquement sur les niveaux d’éducation et les compétences linguistiques, mais aussi sur la racialisation. Les données illustrent également l’importance de comprendre les obstacles distincts sur le marché du travail auxquels sont confrontés les différents groupes racialisés. Il aremany des exemples qui illustrent ces différences. Les hommes et les femmes qui ont identifié comme Black avaient des taux de participation de la population active plus élevés que leurs homologues non racialisés. Cependant, ils ont aussi un taux de chômage plus élevés et plus importants écarts de salaires que la moyenne pour l’ensemble des travailleurs racialisées. Les hommes qui se sont identifiés comme Philippins avaient des taux de chômage beaucoup plus bas que les travailleurs nonracialized et avait encore un écart plus important des bénéfices; tandis que les femmes qui ont identifié comme Philippins avaient des taux de chômage plus faible et un écart salarial moindre que la moyenne racialisée. Les hommes et les femmes qui ont identifié comme l’Amérique latine ont enregistré des taux de chômage plus faibles et des écarts plus importants de bénéfices que la moyenne pour l’ensemble des travailleurs racialisées. Aborder la discrimination sur le marché du travail auxquels sont confrontés les travailleurs racialisés exigera une meilleure compréhension du racisme et les différentes façons, il se manifeste sur le marché du travail pour les différents groupes racialisés. Que sa compréhension des besoins à utiliser pour la politique de forme pour répondre à ces différents obstacles et les formes de discrimination. La ligne de fond: nous attendons toujours de nouvelles politiques audacieuses pour combler l’écart persistant entre les hommes et les femmes racialisées et non racialisées en Ontario. Jusqu’à ce que nous attaquons les obstacles à l’équité en matière d’emploi et à un travail décent, l’écart de revenu racialisée de l’Ontario est peu susceptible d’aller Traduit à l'aide de Google Translate