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Knocking down barriers faced by new immigrants to Canada

Beaucoup d’encre a été renversé sur les difficultés rencontrées par les nouveaux arrivants au Canada et, en particulier, les défis de l’intégration sur le marché du travail. Les obstacles auxquels ils doivent faire face, y compris les compétences linguistiques insuffisantes et des problèmes de reconnaissance des titres de compétences, se reflètent dans les écarts sur le marché du travail par rapport aux résultats les Canadiens d’origine élargissement. Cela est rapidement devenu l’un des plus pressants défis de la politique publique du Canada comme immigrants représentent maintenant plus de 1-en-5 Canadiens. Et avec la retraite venant en sens inverse de la génération du baby-boom, le rôle de l’immigration dans l’économie canadienne ne fera que croître. Ainsi, face à ces problèmes d’intégration est cruciale pour la prospérité à long terme de tous les Canadiens et présenterait des avantages énormes. Par exemple, la simple fermeture de l’écart des taux d’emploi entre les nouveaux arrivants et les Canadiens d’origine équivaudrait à environ 370 000 personnes supplémentaires de travail. Heureusement, une refonte radicale de notre système d’immigration n’est pas nécessaire pour obtenir un changement positif significatif. En effet, le système canadien est souvent considéré comme un modèle par les nombreux autres pays qui luttent aussi avec les mêmes changements démographiques. Mais alors que la plupart des morceaux semblent être en place, certains ont besoin d’ajouter et / ou réarrangé pour rendre toutes ensemble. Nous identifions deux domaines essentiels de la réforme: les processus de sélection fédéral et provinciaux et le réseau des services d’établissement des immigrants. Les possibilités de récolter des économies donnent à penser que des ressources suffisantes dans le système déjà, une conclusion importante à la lumière d’un environnement financier contraint. Les divers programmes fédéraux et provinciaux par lesquels les immigrants qualifiés sont admis, le travailleur qualifié (fédéral), le candidats de la province (PN), et le programme des travailleurs étrangers temporaires (TET), sont tous conçus apparemment pour répondre à la demande de main-d’œuvre à court terme. Cela a créé un chevauchement important, tout en laissant les besoins du marché du travail à long terme sans adresse. Les besoins des employeurs pourraient être beaucoup mieux satisfaits par une approche plus coordonnée. Les programmes PN et TET sont beaucoup mieux placés pour identifier et répondre aux besoins en évolution rapide du marché du travail et ils devraient rester concentrés sur les besoins à court terme. Cependant, les programmes PN pourraient grandement bénéficier de l’adoption de normes et de pratiques similaires. À son tour, le programme de FSW devrait se déplacer vers répondant à la demande de marché de l’emploi à long terme, mettant davantage l’accent sur les compétences linguistiques. Cela nécessitera un système d’information sur le marché du travail qui est en mesure d’identifier les professions à forte demande actuelle et future et une méthode systématique, transparente de changer les professions admissibles au programme. Un seuil de langue minimum pour les demandeurs principaux inciteraient également de meilleurs résultats sur le marché du travail pour les nouveaux arrivants. Compte tenu des piètres résultats économiques des nouveaux arrivants, de nombreuses organisations qui offrent des services d’établissement ont surgi au fil des ans. Cependant, la façon disparate dont les services sont fournis, tels que les programmes de formation linguistique, a donné des résultats inégaux pour les nouveaux arrivants. Beaucoup sont tombés entre les mailles du filet. Les nouveaux arrivants pourraient bénéficier grâce à une approche plus intégrée de la prestation de services dans lequel les agences adoptent les meilleures pratiques similaires. Dans la même veine que les programmes des candidats des provinces, le gouvernement fédéral pourrait envisager une entente de financement de règlement déconcentré dans lequel les provinces reçoivent un montant forfaitaire de fonds de règlement. Avoir une meilleure idée de ce que les services les mieux adaptés aux besoins des immigrants présents dans leur propre territoire, les provinces sont mieux placées pour financer des organismes particuliers pour optimiser la prestation des services et les résultats. Cette normalisation doit appliquer, en particulier, aux programmes linguistiques et des services de reconnaissance des titres de compétences compte tenu de l’importance des deux succès sur le marché du travail. On pourrait envisager d’uniformiser les programmes d’études pour les programmes de langue fédéral / provincial financés à un modèle unique qui a mesuré les niveaux de réussite. Pour la reconnaissance des titres de compétences, un objectif à long terme serait d’avoir des organismes nationaux de réglementation pour l’ensemble des professions réglementées et les exigences d’équivalence harmonisées. Cependant, cela peut ne pas être possible à court terme, étant donné la complexité du processus d’accréditation. Une autre solution possible serait de développer et d’élargir le rôle des commissaires à l’équité dans toutes les provinces et poursuivre plus énergiquement la reconnaissance mutuelle devrait également étendre agreements.The gouvernement fédéral du Programme d’intégration des immigrants au Canada, qui fournit des services avant l’arrivée, à d’autres pays à travers le monde et envisager la mise en place d’un portail d’intégration similaire au Canada. Un tel portail sera utilisé pour étendre sur ce qui a été réalisé au stade avant l’arrivée. Les nouveaux arrivants pourraient savoir où aller pour obtenir les services spécifiques, les bases de données de compétences des immigrants et de l’expérience pourraient être créés et les entreprises pourraient utiliser pour se connecter aux professionnels qualifiés dont ils ont besoin. Enfin, des données plus fréquentes sont nécessaires à l’intégration des nouveaux arrivants. Une grande partie de l’analyse actuelle sur les résultats médiocres du marché du travail des immigrants a été prise d’une seule enquête menée sur une période de cinq ans qui arrive à coïncider avec le buste de technologie. À l’époque, le Canada admettait d’importants flux d’immigrants diplômés liés à l’informatique, ce qui peut avoir faussé le tableau d’ensemble. L’information continue est nécessaire pour vraiment évaluer les résultats économiques des nouveaux arrivants, et nos efforts pour régler cette question. Le Canada admet des centaines de milliers d’immigrants hautement qualifiés hautement instruits chaque année à la demande se rencontrent du travail ou de combler les lacunes de compétences. Et pourtant, aucune raison de participer à l’immigration qualifiée est rendue nulle et non avenue si les immigrants en fin de compte prennent des emplois moins bien rémunérés sans rapport avec leur formation en raison des obstacles sur le marché du travail auxquels ils sont confrontés. La résolution des immigrés des questions est actuellement confrontent essentielle à notre prospérité à long terme et nous avons toutes les pièces nécessaires pour le faire. À l’heure actuelle, nous avons bon nombre de ces pièces ensemble d’une manière disparate. Maintenant, nous devons organiser les pièces restantes et compléter le puzzle. Traduit à l'aide de Google Translate