Developing Canada’s future workforce: A survey of large private-sector employers
Pour soutenir la concurrence sur un marché interconnecté et mondial, les entreprises canadiennes ont besoin d’une main-d’œuvre de plus en plus forte et qualifiée. Cependant, le manque de données sur le marché du travail complet, en particulier sur les tendances de l’emploi et des compétences requises, il est difficile d’identifier et d’analyser l’état actuel du marché du travail canadien. Cette pénurie de données signifie les jeunes diplômés sont amenés à se demander si elles ont les compétences et les qualifications que les employeurs recherchent, alors que les employeurs question de savoir s’il est logique pour eux d’investir davantage dans l’établissement de relations solides avec les institutions postsecondaires. En même temps, les gouvernements se demandent si les entreprises investissent suffisamment dans la formation des employés. Ce rapport, basé sur une enquête auprès de 90 grands employeurs canadiens, examine les tendances récentes et l’embauche futures, les changements démographiques, le marché du travail pour les jeunes Canadiens et les compétences et les qualités que les grandes entreprises canadiennes recherchent lorsqu’ils recrutent des employés. Il est suivi d’un rapport sur les pénuries de compétences au Canada, mené par le Conseil du Canada (anciennement le Conseil canadien des chefs d’entreprise) tout au long de l’automne 2013 et publié en deux parties au cours du premier trimestre de 2014. Dans l’ensemble, les résultats de l’enquête indiquent que: 1. les grandes entreprises cherchent de plus en plus à recruter ou à former des employés ayant des compétences solides souples (également appelées compétences non cognitives). Ces compétences sont particulièrement importantes lors de l’identification et le développement de futurs dirigeants; 2. Les grandes entreprises déclarent généralement que les nouveaux diplômés postsecondaires sont bien préparés à entrer dans la population active, mais que les attentes pour les diplômés évoluent rapidement; 3. La collaboration entre les établissements d’enseignement postsecondaire et le secteur privé est raisonnablement en bonne santé, bien que plus est nécessaire; 4. Les grandes entreprises investissent davantage dans l’apprentissage de la main-d’œuvre et le développement. Dans de nombreux cas, cela comprend l’utilisation de nouvelles méthodes de formation; et 5. La plupart des répondants croient que leurs entreprises sont bien préparés à gérer les changements démographiques prévus, notamment la prochaine vague de départs à la retraite chez les baby-boomers. Traduit à l'aide de Google Translate