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Canada’s colour coded labour market

Les dernières données disponibles de cencus avant que le gouvernement fédéral a annulé long obligatoire du pays révèle une tendance de recensement troublant au Canada. Malgré des années de croissance économique et une population de plus en plus diversifiée sans précédent, ce rapport confirme ce que tant de Canadiens ont vécu dans la vie réelle: un code de couleur est encore au travail sur le marché du travail canadien. Racialized1 Canadiens rencontrent un code de couleur persistante qui les bloque de meilleurs emplois bien rémunérés notre pays a à offrir. Ce rapport utilise 2006 sous forme de temps les données du recensement pour comparer les tendances de travail et de revenus entre les racialisées et les Canadiens non racialisés à l’apogée du boom économique. Il constate que, même dans le meilleur des temps économiques, l’écart salarial entre racialisés et non racialisés Canadiens est importante: les Canadiens racialisés ne gagnent que 81,4 cents pour chaque dollar versé aux Canadiens non racialisés. L’écart de revenu provient des disparités dans la répartition des bons emplois rémunérateurs plus sûrs. Les données démontrent que les Canadiens racialisées ont des niveaux légèrement plus élevés de participation au marché du travail, mais ils continuent de connaître des taux de chômage et un revenu plus faible que les Canadiens non racialisés. Le travail qu’ils sont en mesure d’atteindre est beaucoup plus susceptible d’être précaire, temporaire et peu rémunérateurs. Par exemple, ce rapport montre que les Canadiens racialisés sont surreprésentés dans toute une gamme de services aux entreprises traditionnellement peu rémunérés allant des centres d’appels aux services de sécurité aux services de conciergerie, tandis que les Canadiens non racialisés sont pas.Le données montrent que s’il y a du travail à faire, les Canadiens racialisés sont disposés à le faire: 67,3% des Canadiens racialisés de la population active – un peu plus élevé que les Canadiens nonracialized (66,7 __gVirt_NP_NN_NNPS<__%). Bien qu'ils sont plus disposés à travailler, tous les groupes racialisés – à l'exception de ceux qui identifient comme japonais et philippin – ont tendance à se retrouver sur la ligne de chômage plus souvent que les Canadiens non racialisés. les hommes racialisés sont 24% plus susceptibles d'être au chômage que les hommes non racialisés. Les femmes racialisées ont pire: ils sont 48% plus susceptibles d'être au chômage que les hommes non racialisés. Cela peut contribuer au fait que les femmes racialisées gagnent 55,6% du revenu des hommes non racialisés. Les données du recensement précise: Entre 2000 et 2005, au cours de l'une des meilleures périodes de croissance économique pour le Canada, les travailleurs racialisées ont contribué à cette croissance économique, mais ils ne bénéficient pas des avantages. En moyenne, les revenus canadiens non racialisées ont légèrement augmenté (2,7%) au cours de cette période – les gains de revenu compte tenu de l'économie tiède a augmenté de 13,1%. Mais le revenu moyen des Canadiens racialisés a diminué de 0,2%. Et c'était avant la récession a frappé le Canada en 2008. Les résultats soulèvent des questions troublantes au sujet de l'un des groupes les plus dynamiques dans la société canadienne. La composition démographique du Canada est en train de changer rapidement, mais les politiques du marché du travail sont à la traîne. Dans les années 1980, les groupes racisés représentaient moins de 5% de la population du Canada. Par le recensement de 2001, racialisés Les Canadiens représentaient 13,4% de la population. Entre le recensement de 2001 et la prise 2006, cette population a augmenté de 27% – cinq fois plus vite que le taux de croissance de la population canadienne. En 2006, 16,2% de la population est venue d'un groupe racialisé. En 2031, on estime les Canadiens racialisés composeront 32% de la population. la composition démographique du pays est en pleine mutation. Si le marché du travail continue aux travailleurs reléguer des groupes racisés à l'arrière du peloton, le nombre de Canadiens laissés en arrière qu'accélérer – remettre en cause la promesse que le Canada est une société juste et bienveillante engagée à l'égalité des chances, peu importe qui vous êtes et d'où vous venez. explications par défaut comme œIt prend un certain temps pour les immigrants à intégrer ne portent pas. Même lorsque vous contrôlez l'âge et de l'éducation, les données montrent la première génération racialisée hommes canadiens ne gagnent que 68,7% de ce que non racialisés de première génération d'hommes canadiens gagnent, ce qui indique un code de couleur est fermement en jeu sur le marché du travail. Ici, l'écart entre les sexes – en jeu dans tout le spectre – devient inquiétante grande: les femmes racialisées immigrés ne gagnent que 48,7 cents pour chaque immigrants de sexe masculin non racialisées dollar gagner. Le code de couleur pour la deuxième génération persiste Canadiens ayant fait des études et d'âge. Le goulet d'écart, avec les femmes racialisées font 56,5 cents par dollar hommes non racialisés gagnent; tandis que les hommes gagnent racialisées 75,6 cents pour chaque dollar hommes nonracialized dans cette cohorte gagnent. Tout en prenant note de nombreuses similitudes entre les différents groupes racialisés, le rapport met également en évidence quelques différences. Par exemple, l'écart de rémunération varie de 69.5cents par dollar pour ceux qui identifient comme coréens à 89 cents par dollar pour ceux qui identifient comme chinois. Ce rapport rend la racialisation continue de la pauvreté au Canada. Les taux de pauvreté pour les familles racialisées sont trois fois plus élevés que les familles non racialisées. En 2005, 19,8% des familles racialisées vivaient dans la pauvreté, comparativement à 6,4% des familles non racialisées. Enfin, le rapport établit les liens entre les emplois à faible revenu, la racialisation de la pauvreté, et les impacts à la fois avoir sur la santé des Canadiens racialisées. Traduit à l'aide de Google Translate