“Brain abuse”, or the devaluation of immigrant labour in Canada
De nombreux immigrants canadiens professionnels et qualifiés souffrent de déqualification et de la non-reconnaissance de leurs titres de compétence étrangers. Par conséquent, ils sont sous-représentés dans les segments supérieurs du marché du travail canadien. Plutôt que d’accepter cette dévalorisation du travail des immigrants comme une période d’ajustement naturel, je suggère que les institutions réglementaires excluent activement les immigrants des segments supérieurs du marché du travail. En particulier, les associations professionnelles et les employeurs donnent la préférence aux travailleurs nés au Canada et instruits et refuser l’accès des immigrants aux professions les plus recherchés. La notion de capital culturel institutionnalisé de Pierre Bourdieu et son point de vue du système éducatif comme un site de reproduction sociale constituent le point d’entrée pour mon argument théorique. Je trouve que la non-reconnaissance des titres de compétences étrangers et la révocation de l’expérience travail à l’étranger exclut systématiquement les travailleurs immigrés des segments supérieurs du marché du travail. Cette constatation est basée sur les données d’entrevues avec les administrateurs des établissements et les employeurs du Grand Vancouver, qui les immigrants de service ou d’employer de l’Asie du Sud et l’ex-Yougoslavie. Traduit à l'aide de Google Translate