Better together: Active and passive labour market policies in developed and developing economies
Nous étudions l’impact macroéconomique des dépenses publiques dans les politiques du marché du travail active et passive sur les indicateurs de l’emploi principal (à savoir le chômage, l’emploi et la participation au marché du travail) pour une base de données de panel de 121 pays (36 développés, 64 émergents et 21 pays en développement). À la suite des contributions précédentes, nous mettons en œuvre une stratégie variable instrumentale pour tenir compte de la causalité inverse possible entre les résultats du marché du travail et les dépenses dans les politiques du marché du travail. Par rapport aux études précédentes, (i) nous Incluons pour la première preuve de temps en provenance de pays non membres de l’OCDE; et (ii) nous examinons la présence éventuelle de complémentarités entre les politiques actives et passives. Nous constatons que l’interaction entre les interventions est crucial que l’effet des dépenses ou l’autre des deux politiques est plus favorable plus est passé de l’autre. En particulier, nous constatons que les dépenses même dans les politiques passives peuvent avoir des effets positifs sur le marché du travail (à savoir la réduction du chômage et augmentation des taux d’emploi) à la condition que des quantités suffisantes sont consacrées à des interventions actives. Cette complémentarité est entraînée par l’interaction entre tous les types de politiques actives et l’assurance-chômage (mais pas d’assistance). Cependant, cette complémentarité positive est en place que dans les économies développées alors qu’il devient négatif dans les pays émergents et en développement. Traduit à l'aide de Google Translate