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Notre travail
Pour les établissements d’enseignement postsecondaires canadiens, l’acquisition de compétences sociales et émotionnelles chez leurs étudiants n’est pas prioritaire, malgré leur importance croissante pour les employeurs. Il faut mettre davantage l’accent sur le développement de ces compétences chez les étudiants.
Malgré la forte demande des employeurs pour des compétences sociales et émotionnelles (CSE) comme la créativité et la résolution de problèmes, les établissements d’enseignement postsecondaire (EPS) dans leur ensemble n’en font pas une priorité.
Seulement un plan stratégique d’EPS sur cinq mentionne le développement holistique des CSE.
Les établissements d’EPS doivent accorder plus d’importance au développement des CSE pour préparer les étudiants à la réussite professionnelle.
Au Canada, les employeurs recherchent de plus en plus de nouveaux employés dotés de compétences sociales et émotionnelles (CSE) bien développées, abandonnant l’idée d’embaucher et de récompenser les travailleurs en fonction de leurs compétences techniques.
Cependant, les établissements d’enseignement postsecondaires (EPS) canadiens n’ont pas encore pris ce virage. L’examen et l’analyse des plans stratégiques des établissements d’EPS révèlent qu’ils n’accordent pas suffisamment d’importance à l’acquisition de compétences sociales et émotionnelles chez leurs étudiants. L’enseignement des CSE est en grande partie confiné aux activités facultatives et extrascolaires. Ce problème est présent tant dans les universités que dans les collèges.
Les établissements d’EPS doivent redoubler d’efforts pour doter les diplômés des CSE dont ils auront besoin pour réussir et s’épanouir dans les milieux de travail actuels et futurs. Cette priorité doit être intégrée en premier lieu sur le plan stratégique.