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Le marché de l’emploi d’aujourd’hui et l’avenir du travail

Je suis ravi de me trouver à nouveau à l’Université Queen’s, où j’ai obtenu mon baccalauréat en économie il y a une quarantaine d’années. Je me souviens bien de cette période de l’année : les étudiants sont stressés, que ce soit à l’idée d’entamer leur carrière, d’être admis à leur prochain programme d’études ou de terminer leurs travaux de session. Ceux d’entre vous qui espèrent intégrer le marché du travail ressentent sans doute de l’enthousiasme et de la nervosité, à cause de l’incertitude de l’avenir. Au moins, la situation macroéconomique qui se présente à vous est favorable : 283 000 emplois ont été créés ces 12 derniers mois, et le taux de chômage n’a jamais été aussi bas en plus de 40 ans. Cela dit, ces constats ne vous empêchent peut-être pas de vous demander ce que l’avenir vous réserve. Nous avons tous entendu parler de gens qui ont du mal à entrer sur le marché du travail, de personnes surqualifiées et sous-employées, et de la difficulté de bâtir une carrière stable dans l’« économie des petits boulots ». Parallèlement, l’automatisation et la numérisation perturbent des secteurs entiers et menacent de rendre certains emplois obsolètes. Vu ce contexte, je vous entretiendrai aujourd’hui du marché du travail au Canada. Je vous expliquerai d’abord pourquoi la banque centrale y prête une attention toute particulière et comment la politique monétaire peut favoriser sa bonne tenue. Je me risquerai aussi à spéculer un peu sur ce qui vous attend, c’est-à-dire sur l’avenir du travail.
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Avenirs économiques : La prochaine économie numérique

Nous vivons une transition profonde qui nous mènera vers la prochaine économie numérique. Même si les résultats de cette transition sont positifs pour plusieurs, les changements qu’elle impose pourraient être difficiles. Chaque transition économique précédente a engendré de nouvelles façons de penser, réorienté les énergies humaines, perturbé des manières de vivre, renversé de puissantes institutions, et transformé les environnements construits et naturels. La même situation pourrait se reproduire. La prochaine économie numérique promet de révolutionner les chaînes de valeur et de présenter un modèle différent pour la production et la consommation de biens et de services. Une grande partie de nos activités économiques pourraient devenir intermédiaires, personnalisées, à la demande et distribuées mondialement de façon numérique. Huit technologies numériques sont en train de mûrir et de s’associer pour changer l’économie : • L’internet des objets permettra de recueillir de vastes quantités de données et les amener au monde physique. • L’intelligence artificielle (IA) et les tâches cognitives automatisées introduiront de nouveaux acteurs économiques. • Les robots effectueront du travail physique et fourniront une plateforme incarnée pour l’IA. • La téléprésence permettra de nous projeter et de diffuser notre expertise à n’importe quel endroit dans le monde qui est connecté aux réseaux. • La réalité virtuelle offrira des mondes non-physiques réalistes, tandis que la réalité mixte combinera les mondes physiques et virtuels, créant un troisième espace qui se distingue des deux. • Les matériaux de pointe permettent la production d’appareils à échelle micro et nano qui peuvent amener la numérisation à plusieurs nouveaux domaines à faible puissance. • Les technologies décentralisées de production, telles que l’impression 3D, pourraient utiliser des intrants disponibles localement, y compris de nouveaux biomatériaux, afin de fabriquer une multitude de produits à la demande pour des marchés locaux. • Les technologies des chaînes de blocs créent des actifs numériques uniques et non copiables. Ceci permet de d’effectuer des transactions sécuritaires et à faible coût entre des partis qui ne se connaissent pas.
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The economic benefits of investing in clean energy: How the economic stimulus program and new legislation can boost U.S. economic growth and employment

Cette étude, commandée par le Center for American Progress, examine les questions économiques plus larges considérations emplois, les revenus et la croissance économique grâce à l'objectif de deux initiatives gouvernementales cette année par l'administration Obama et le Congrès. Le premier est l'ensemble des dispositions d'énergie propre incorporés dans le American Recovery and Reinvestment Act. Le second est le projet américain Clean Energy Act et de la sécurité qui est maintenant devant le Congrès. Notre analyse montre ce document que ces mesures fonctionnent ensemble peuvent générer environ 150 milliards $ par année en nouveaux investissements en énergie propre aux États-Unis au cours de la prochaine décennie. Il a été estimé à 150 milliards $ de nouvelles dépenses comprend chaque année un financement du gouvernement, mais est notamment dominé par les investissements du secteur privé. Nous estimons cette expansion soutenue des investissements en énergie propre peut générer une augmentation nette d'environ 1,7 million d'emplois. Cette expansion des possibilités d'emploi peut se poursuivre aussi longtemps que l'économie maintient un engagement envers les investissements en énergie propre dans 150 milliards $ par année varient. Si les investissements en énergie propre expansion encore plus rapide, la création globale d'emplois augmentera en conséquence. Ces investissements pourraient, par conséquent, non seulement nous guider hors de notre crise dépendante de combustibles fossiles, mais servir un puissant moteur de la reprise économique et de la vigueur économique à long terme aux États-Unis [googletranslate_fr]
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Avenirs économiques : L’avenir du travail - Cinq facteurs qui changent la donne

Nous vivons une transition vers la prochaine économie numérique, dans laquelle une grande partie de notre activité économique pourrait devenir, de façon numérique, intermédiaire, personnalisée, à la demande et distribuée mondialement. Par conséquent, les modèles de production et de consommation de biens et services sont en pleine mutation, ce qui pourrait affecter autant le volume de l’emploi que sa nature. À mesure qu’une vaste suite de technologies – telles que les plateformes axées sur les tâches, la téléprésence, l’automatisation, l’intelligence artificielle (IA) et les chaînes de blocs – mûrissent et s’associent, elles sont susceptibles d’avoir un effet particulièrement perturbateur sur l’emploi et son expérience. Le présent rapport analyse cinq facteurs qui changent la donne vis-à-vis de l’avenir du travail. Un facteur qui change la donne est un changement significatif dans notre manière de penser ou de faire quelque chose. Chaque section décrit les éléments de base du facteur qui change la donne et identifie les implications que celui-ci pourrait avoir sur les politiques publiques. L’emploi passe d’être à long terme et axé sur le temps, à temporaire et axé sur les tâches. Dans un marché du travail mondialement concurrentiel où plusieurs personnes sont payées à la tâche, comment les gouvernements peuvent-ils garantir que le salaire minimum et les normes d’emploi sont respectés et que les systèmes de soutien social sont efficaces? L’IA et l’automatisation des tâches pourraient mettre des travailleurs au chômage bien avant que les technologies prennent la place d’emplois dans leur intégralité. Comment les gens réagiraient-ils à la requalification et à la perte d’emploi alors que les tâches pourraient remplacer les emplois en tant qu’unité de base du travail et que celles-ci sont en train d’être automatisées à travers tous les secteurs? L’IA réduit la pénurie de travailleurs du savoir, permettant potentiellement une croissance sans emploi dans les industries du savoir. Si le savoir et certaines formes d’intelligence peuvent être reproduites lorsque nécessaire, que pourrait-il arriver au travail cognitif et aux professions « intellectuelles » à l’avenir? La combinaison de technologies numériques pourrait réduire la demande d’humains intermédiaires qui assurent confiance et sécurité. Que pourrait-il arriver si la technologie élimine les rôles transactionnels humains de la main-d’œuvre? L’endroit où les gens travaillent et gagnent de l’argent ne correspond pas nécessairement à celui où ils vivent et dépensent. Que pourrait-il arriver à la taxation, aux avantages sociaux et à l’économie secondaire lorsqu’une personne peut vivre n’importe où au monde mais travailler au Canada, ou vice-versa? Examiner ces changements peut aider à identifier les potentiels défis et possibilités, qui assurent la base d’un dialogue productif sur les politiques axées vers l’avenir.
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La prochaine génération d’enjeux mondiaux émergents

Le présent projet a pour objectif de déterminer la prochaine génération d’enjeux mondiaux qui pourraient être examinés par le Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH), dans le cadre de son initiative Imaginer l’avenir du Canada (IAC). Le changement climatique est un enjeu mondial que nous connaissons bien. Bien que ce problème soit loin d’être résolu, nous voulions savoir ce qu’il y avait d’autre à l’horizon. Les enjeux que nous avons analysés ont plusieurs caractéristiques communes. Il s’agit de problèmes émergents qui pourraient fondamentalement transformer la société. La recherche subventionnée par l’État pourrait orienter le discours public et l’élaboration de politiques. Les enjeux sont multidisciplinaires, et leur résolution nécessite une vaste collaboration. Plusieurs enjeux émergent des innovations technologiques et, comme les grands titres en témoignent, ils sont probablement ceux qui requièrent une attention immédiate de la part des chercheurs en sciences humaines. Le moment où chaque enjeu deviendra urgent peut varier, mais une analyse et des discussions proactives et transdisciplinaires seront profitables à tous les enjeux.
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Compétences numériques : Des compétences pour soutenir le passage au numérique des PME

Afin de rester concurrentielles et d’améliorer leur performance, les PME manufacturières doivent développer de nouvelles stratégies et de nouveaux processus d’affaires qui reposent sur l’utilisation des technologies de l’information et de communication (TIC). Actuellement, les défis qui se posent pour les PME sont nombreux avec, d’une part, la transformation qui s'opère à grande vitesse dans les entreprises manufacturières, notamment grâce à des investissements publics massifs, et d’autre part, l'intensification du commerce électronique qui modifie non seulement les modèles d'affaires du commerce de détail, mais qui devient un levier de gestion et de coordination des chaînes d'approvisionnement. Dans ce contexte, les entreprises qui veulent demeurer concurrentielles et intensifier leur usage du numérique doivent avoir des dirigeants qui sont outillés pour comprendre les opportunités du numérique et des équipes qui ont les compétences nécessaires pour tirer le maximum des TIC. En effet, l’investissement dans l’acquisition et l’utilisation des nouvelles TIC ne représente qu’une partie de l’équation, la balance reposant sur la capacité des employés d'une entreprise à faire usage des TIC, mais aussi à intensifier cette utilisation dans leur contexte de travail. Le rôle des utilisateurs dans le développement de la capacité numérique de l'organisation est aujourd'hui central. Très clairement, le développement des compétences numériques est au cœur de la modernisation du tissu industriel québécois. 7 Outre les défis pour l’organisation, le développement des compétences numériques présente aussi un défi pour les travailleurs puisqu’ils doivent s’adapter aux changements technologiques et organisationnels. Il ne fait d’ailleurs plus de doute que la maîtrise des compétences numériques soit un facteur de succès professionnel, les résultats publiés par l’OCDE indiquant que « le fait d’atteindre les niveaux les plus élevés de compétences en résolution de problème à l’aide des TIC augmente la probabilité d’être plus actif, pour un adulte, de 6 points de pourcentage par rapport aux individus se situant aux niveaux les plus faibles dans ce domaine, même après contrôle de différents facteurs, tels que l’âge, le sexe, le niveau de formation »1. De plus, les adultes sans expérience avec les TIC sont moins susceptibles d’être actifs et lorsqu’ils le sont, sont moins bien rémunérés. Mais de quelles « compétences numériques » ont besoin les organisations et leur personnel ? Quelles sont les caractéristiques de ces compétences ? Le CEFRIO a, dès 2012, voulu explorer la question des compétences numériques dans le contexte du passage au numérique des PME. Il a alors mandaté une équipe de recherche dans le cadre de la mesure PME 2.0, formée d’Amélie Bernier et Dragos Vieru de la TELUQ et de Simon Bourdeau de l’Université du Québec à Montréal, pour proposer des éléments de réponses à ces questions.
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Competency-based education: Driving the skills-measurement agenda

Avec une pression accrue sur le système d'éducation postsecondaire pour préparer les étudiants à une main-d'œuvre en évolution, l'éducation axée sur les compétences (EBC) est en train d'émerger comme un modèle prometteur pour préparer les diplômés à la demande de l'employeur se rencontrent. Un nouveau rapport publié par le Conseil de la qualité de l'enseignement supérieur de l'Ontario, de l'éducation axée sur les compétences: Conduire l'Agenda des compétences de mesure, explore le développement de CBE en Amérique du Nord et examine sa promesse et le potentiel en Ontario. l'éducation axée sur les compétences - un modèle qui met l'accent sur les connaissances et les capacités des étudiants démontrent, quel que soit le temps qu'ils passent dans une salle de classe - gagne au niveau international l'attention. Parce qu'ils ont le potentiel pour les étudiants des cycles supérieurs rapidement, à moindre coût et avec les compétences nécessaires pour répondre aux besoins des employeurs, des programmes sont parfaitement adaptés CBE pour les groupes pas toujours bien servis par l'éducation postsecondaire traditionnelle, comme les apprenants adultes. [googletranslate_fr]
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Entreprises appartenant à des immigrants dans les industries fondées sur le savoir

Traditionnellement, la plus grande partie de la recherche effectuée sur les entreprises appartenant à des immigrants portait sur l’économie ethnique, soit la mesure dans laquelle la demande de biens spécialisés au sein de groupes ethniques particuliers offrait des occasions d’affaires aux immigrants entrepreneurs dans ces collectivités. Les marchés d’alimentation, les restaurants et les autres commerces de détail ou entreprises de services appartenant à des immigrants dans ces marchés à créneaux en sont des exemples. Ce n’est que plus récemment que l’on s’est intéressé davantage au rôle que jouent les immigrants entrepreneurs dans l’économie au sens large, et plus particulièrement dans les entreprises fondées sur le savoir et les entreprises de haute technologie. On connaît encore peu de choses sur la nature des entreprises appartenant à des immigrants au Canada. En raison des limites des données, les études sont davantage axées sur les travailleurs autonomes immigrants, ce qui exclut ainsi de grands segments d’entreprises appartenant à des immigrants. Afin de combler cette lacune, on recourt, dans la présente analyse, à des données de 2010 provenant de la Base de données canadienne sur la dynamique employeurs-employés de Statistique Canada pour décrire les entreprises appartenant à des immigrants et, plus particulièrement, la mesure dans laquelle ces entreprises exercent leurs activités dans les industries fondées sur le savoir (IFS) ou les industries plus traditionnelles comme le commerce de détail et les services de restauration. En outre, on y examine les différences de répartition des immigrants par industrie dans les différentes catégories d’immigrants (regroupement familial, réfugiés, catégorie des gens d’affaires et catégorie économiqueNote 1). L’étude se fonde sur une autre étude antérieure utilisant le même ensemble de données, qui a démontré qu’après une période d’ajustement et d’intégration, les immigrants étaient propriétaires d’entreprise dans une plus grande proportion que les personnes nées au Canada (Green et coll., 2016). Cependant, les entreprises privées constituées en société appartenant à des immigrants sont généralement de plus petite taille que celles des personnes nées au Canada, et ces entreprises emploient respectivement en moyenne quatre et sept salariés. Le taux de travailleurs autonomes non constitués en société est également plus élevé chez les immigrants que dans la population née au Canada. L’analyse s’intéresse à deux types d’entreprises. Le premier type comprend les entreprises privées constituées en société, que l’on considère appartenir à des immigrants lorsqu’au moins l’un des propriétaires est un immigrant. Les propriétaires détenant au moins 10 % des actions de l’entreprise sont définis comme tels. Seules les entreprises privées constituées en société ayant des employés sont incluses dans l’analyse. Le deuxième type comprend les entreprises appartenant à des travailleurs autonomes non constitués en société. La vaste majorité de ces entreprises ne compte pas d’employés. Dans le cas d’environ 55 % des immigrants travailleurs autonomes non constitués en société, leur entreprise est leur principale activité économique et le travail autonome, leur principale source de revenus (Green et coll., 2016). Ils sont désignés comme étant principalement travailleurs autonomes, et les entreprises qui leur appartiennent sont incluses dans la présente étude. Les 45 % qui restent sont exclus, car, chez ces personnes, le travail autonome est une activité économique secondaire, puisque les gains qu’ils tirent d’un travail salarié excèdent ceux provenant d’un travail autonomeNote 2. L’analyse met l’accent sur les entreprises appartenant à des immigrants âgés de 18 à 69 ans qui sont arrivés au Canada à partir de 1980. Le groupe témoin comprend des entreprises appartenant à des personnes nées au pays ainsi qu’à des immigrants qui sont arrivés au Canada avant 1980 (désignées collectivement comme « personnes nées au Canada », puisque 93 % d’entre elles sont nées au Canada).
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Creating South Africa's future workforce: Digital puts one in three jobs at risk

Comme numérique continue à dominer, la capacité de l'Afrique du Sud pour sécuriser l'accès économique pour tous ses habitants-donnant ses effectifs les compétences nécessaires pour participer à l'économie numérique et earn-déterminera sa trajectoire future. Dans ce rapport, Accenture recherche identifie: les nouvelles compétences nécessaires aux avantages de déverrouillage dans l'économie numérique; et les actions nécessaires par les dirigeants sud-africains à travers les entreprises, le gouvernement et l'industrie à la forme et préparer la main-d'œuvre à «courir avec la machine. [googletranslate_fr]