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Supported internship trial for 16 to 24 year old learners with learning difficulties and/or disabilities: An evaluation research report
Les études sur l'avenir du travail ont tendance à se concentrer sur les emplois à risque d'automatisation, avec des projections très variables de 6% à 59%. Sunil Johal et Michael Urban prennent une approche différente à l'examen huit rapports d'experts et les mesures prises par neuf plats à emporter CKEY; ys de se préparer aux défis à venir. Ils distillent des leçons clés pour le Canada pour assurer que les travailleurs possèdent les compétences dont ils ont besoin pour prospérer dans l'économie de demain, dans toutes ses formes. Dans notre premier rapport en compétences Ensuite, nous regardons la recherche en haut et les compétences des programmes de formation qui réussissent au niveau international, et mettre en évidence pour les décideurs canadiens les principales caractéristiques de conduite succès. L'avenir du travail va perturber les relations employeur-travailleur du travail traditionnel de cinq façons distinctes. Ainsi, en regardant les compétences des programmes de formation dans le monde entier, ce qui peut être appris sur le développement d'outils numériques pour les citoyens, la construction de centres d'innovation, efficaces partenariats public-privé, les dépenses publiques responsables, et les réformes juridiques que les décideurs peuvent utiliser à la maison? [googletranslate_fr]
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Convention on the rights of persons with disabilities
Le but de ce document de travail est donc d'analyser l'économie numérique et la transformation du travail en examinant si les développements de spécifiques à cet égard peuvent être mieux caractérisées comme une continuation des tendances antérieures ou par rapport au passé. Sur la base de plus de 25 ans d'expérience de recherche dans le domaine, les auteurs examinent d'abord quels aspects du modèle de l'économie numérique peuvent être considérés comme de véritables nouveautés et signes avant-coureurs potentiels des grandes ruptures avec le passé, et qui ne sont que des versions amplifiées des tendances actuelles pour l'industrie et de restructuration du secteur des services et des transformations en milieu de travail. La deuxième partie du document examine les avancées technologiques majeures qui sont actuellement les lieux de travail perturbaient, ainsi que leur potentiel de transformation, alors que la troisième partie ressemble à de nouvelles formes de travail - travail particulièrement virtuel - dans l'économie numérique. La quatrième et dernière partie des document traite de la relation entre la distance géographique et les liens sociaux et les défis réglementaires posés par les modèles de travail non structurées, avant de conclure avec une remise en cause du sens du travail dans des environnements professionnels où les mondes virtuels se croisent dans la vie réelle. [googletranslate_fr]
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Persons with disabilities and employment
Entre 1991 et 2011, la part des jeunes titulaires d'un diplôme universitaire a augmenté de manière significative, tout comme la part des jeunes travailleurs dans les professions libérales. Néanmoins, de nombreux jeunes titulaires d'un diplôme universitaire pourraient encore être consideredoverqualified »- qui travaillent dans les professions exigeant un niveau de scolarité. Dans cet article, l'évolution de la surqualification chez les jeunes diplômés sont examinés au cours de la période allant de 1991 à 2011. En 2011, 28% des femmes occupant un emploi de 25 à 34 a travaillé inprofessional » occupations - celles qui nécessitent un diplôme universitaire - à partir 18% en 1991. chez les hommes occupant un emploi du même âge, 18% travaillaient dans les professions libérales en 2011, en hausse de 13% en 1991. Parmi les diplômés universitaires âgés de 25 à 34 ans qui n'étaient pas dans les professions de gestion, 18% des hommes et des femmes travaillaient dans les professions nécessitant habituellement un diplôme d'études secondaires ou moins, et environ 40% des hommes et des femmes travaillaient dans les professions qui exigent habituellement une formation de niveau collégial ou moins. Ces proportions ont peu changé depuis 1991. Parmi les immigrants des études universitaires qui ne sont pas diplômés au Canada ou aux États-Unis, 43% des femmes et 35% des hommes travaillaient dans les professions exigeant un diplôme d'études secondaires ou moins. En comparaison, les mêmes taux pour les personnes nées au Canada et pour les immigrants qui ont obtenu leur diplôme au Canada ou aux États-Unis ont varié entre 15% et 20%. Environ un tiers des hommes et des femmes qui travaillent 25 à 34 ans titulaires d'un diplôme universitaire en sciences humaines (qui comprend l'histoire, la littérature et la philosophie) travaillaient dans les professions exigeant un diplôme d'études secondaires ou moins. En revanche, moins de 10% des hommes et des femmes titulaires d'un diplôme universitaire en éducation étaient dans les professions exigeant habituellement un diplôme d'études secondaires. Les hommes et les femmes dans la santé et des domaines connexes, et dans l'architecture, l'ingénierie et des domaines connexes avaient également des taux inférieurs à 15%. [googletranslate_fr]
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Maximizing opportunity, mitigating risk: Aligning law, policy and practice to strengthen work-integrated learning in Ontario
La Convention relative aux droits des personnes handicapées et son Protocole facultatif (A / RES / 61/106) a été adopté le 13 Décembre 2006 au siège des Nations Unies à New York, et a été ouverte à la signature le 30 Mars 2007. Il y avait 82 signataires de la Convention, 44 signataires du Protocole facultatif, et 1 ratification de la Convention. Ceci est le plus grand nombre de signataires de l'histoire à une convention des Nations Unies sur la journée d'ouverture. Il est le premier traité sur les droits de l'homme global du 21ème siècle et est la première convention des droits de l'homme ouvert à la signature des organisations régionales d'intégration. La Convention est entrée en vigueur le 3 mai 2008. La Convention suit des décennies de travail par les Nations Unies pour changer les attitudes face aux personnes handicapées. Il faut une nouvelle hauteur du mouvement de l'affichage des personnes handicapées comme œobjects de charité, le traitement médical et la protection sociale à l'affichage des personnes handicapées comme œsubjects avec des droits, qui sont capables de revendiquer ces droits et prendre des décisions pour leur vie sur la base leur consentement libre et éclairé ainsi que d'être membres actifs de la société. La Convention est conçue comme un instrument des droits de l'homme avec une dimension de développement social explicite. Il adopte une définition large des personnes handicapées et réaffirme que toutes les personnes avec tous les types de handicap doivent jouir de tous les droits de l'homme et des libertés fondamentales. Il clarifie et remplit les conditions comment toutes les catégories de droits applicables aux personnes handicapées et identifie les domaines dans lesquels des adaptations doivent être prises pour les personnes handicapées d'exercer effectivement leurs droits et les zones où ont été violés leurs droits, et où la protection des droits doit être renforcée. La Convention a été négocié pendant huit sessions d'un comité spécial de l'Assemblée générale de 2002 à 2006, ce qui en fait le traité sur les droits de l'homme le plus rapide négocié. [googletranslate_fr]
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Skills gaps, underemployment and equity of labour-market opportunities for persons with disabilities in Canada
Cet article fournit des informations sur la participation au marché du travail des Canadiens de 25 à 64 ans ayant une déficience physique ou mentale liée à vue, l'ouïe, la mobilité, la flexibilité, la dextérité, la douleur, l'apprentissage, le développement, les troubles psychologiques / mentaux ou de la mémoire. Les facteurs associés à la participation à l'emploi des personnes handicapées sont discutées, ainsi que leurs caractéristiques d'emploi. En 2011, le taux d'emploi des Canadiens âgés de 25 à 64 ans ayant un handicap était de 49%, contre 79% pour les Canadiens sans handicap. Le taux d'emploi chez les personnes âgées de 25 à 64 ans ayant une incapacité légère était de 68%, contre 54% des personnes ayant une déficience modérée, 42% des personnes ayant un handicap sévère et 26% chez les personnes ayant une incapacité très sévère. La différence de taux d'emploi entre les personnes handicapées et les personnes sans handicap était plus faible chez les diplômés universitaires. Cette différence était non significative dans le cas des diplômés universitaires qui avaient une incapacité légère ou modérée. Environ 1 2 diplômés universitaires, avec ou sans handicap, a tenu une activité professionnelle. Cependant, les diplômés ayant un handicap étaient moins susceptibles d'occuper un poste de direction et ont gagné moins que les personnes sans handicap, en particulier chez les hommes. Parmi les Canadiens ayant un handicap, 12% ont déclaré avoir refusé un emploi au cours des cinq dernières années en raison de leur état. Le pourcentage était de 33% chez les 25 à 34 ans ayant une incapacité grave ou très grave. [googletranslate_fr]
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Skills gaps, underemployment, and equity of labour-market opportunities for persons with disabilities in Canada
Un large consensus se dégage en Ontario et au niveau fédéral au Canada en faveur de l'élargissement de l'accès à expérientiel ou « étudiants de niveau postsecondaire des possibilités (WIL) l'apprentissage intégré au travail ». L'un des défis dans la mise en œuvre de cette vision navigue le statut juridique complexe des étudiants qui quittent le campus et entrer dans les lieux de travail dans un large éventail d'industries et de rôles. Cette étude vise à soutenir ces efforts en cartographiant le paysage juridique actuel pour WIL d'identifier les risques et opportunités pour les étudiants, les établissements d'enseignement postsecondaire (SIEP) et les hôtes de placement semblables (désignés collectivement dans cette étude comme « participants WIL »). Il formule des recommandations pour simplifier, clarifier et renforcer les cadres juridiques clés et d'améliorer les pratiques institutionnelles dans la gestion des programmes de WIL et leurs implications juridiques. [googletranslate_fr]
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A profile of the labour market experiences of adults with disabilities among Canadians aged 15 years and older, 2012
Un Canadien sur cinq âgés de 15 ans ou plus, soit environ 6,2 millions de personnes ont-un ou plusieurs handicaps. Alors que les personnes handicapées peuvent atteindre intégrés socialement, financièrement indépendant vie grâce à un emploi sûr, bien payés, ils sont souvent piégés dans des emplois peu qualifiés à risque élevé d'automatisation. Au Canada, les personnes handicapées gagnent généralement des salaires plus bas et sont plus des emplois précaires que le travailleur moyen. Parmi les Canadiens âgés de 25 à 64 ans, le taux de pauvreté est de 40 pour cent plus élevé pour les personnes ayant une incapacité légère et près de 200 pour cent de plus pour les personnes ayant une incapacité plus grave, que pour les Canadiens non handicapés. L'examen des raisons que les personnes handicapées sont sous-employés révèle des difficultés à trouver du travail et, une fois un emploi, des difficultés et demander d'obtenir le soutien dont ils ont besoin pour faire avancer leur carrière. La stigmatisation sociale, un manque de compréhension, et un manque de soutien à de nombreuses étapes de la vie d'autres composés les défis que les personnes handicapées doivent surmonter. Dans l'avenir du travail, ces défis seront probablement exacerbées, que les emplois où les personnes handicapées trouvent généralement un emploi sont souvent à risque d'automatisation - à savoir l'emploi, à faible éducation peu qualifiés. Et alors que certaines catégories d'emplois devraient à la croissance de l'expérience dans les années à venir, comme les catégories professionnelles et de gestion, les personnes handicapées se trouvent sous-représentées dans ces catégories « de croissance ». Pour éliminer les obstacles à l'emploi pour les personnes handicapées, les employeurs, les décideurs, les professionnels de la santé, les éducateurs, les architectes et les ingénieurs doivent être éduqués pour développer « la confiance des personnes handicapées. » les employeurs de personnes handicapées ont confiance les connaissances nécessaires pour créer des environnements de travail inclusifs et accessibles et plaider en faveur du changement social au sein et au-delà de leurs organisations. Au-delà, plus de recherche est nécessaire pour comprendre les enjeux autour de l'incapacité et de l'emploi, y compris la façon dont l'automatisation aura une incidence sur les emplois, comment les employeurs peuvent soutenir la transition de l'école au travail, et qui les pratiques d'accommodement aidera les éducateurs et les employeurs à rendre le monde futur du travail plus équitable et inclusive. En particulier, la recherche suggère que la transition entre l'école et le travail semble être un défi majeur pour les personnes handicapées. Les établissements d'enseignement et les employeurs pourraient tirer parti de cette transition vers l'occasion, de se connecter en fournissant des emplois dans des industries à forte croissance connaissent une nécessité pour les travailleurs les personnes handicapées compétences, les compétences et les qualifications (personnes ayant une incapacité légère sont déjà bien éduqués). [googletranslate_fr]
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Feasibility study and needs assessment for a Canadian searchable online resource for workplace accommodation for persons with disabilities
Une revue de la littérature qui informe les compétences pour l'emploi des personnes handicapées. [googletranslate_fr]