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Global risks report 2020
Le monde ne peut pas attendre que le brouillard de l'incertitude géopolitique et géo-économique ascenseur. Opter pour traverser la période actuelle dans l'espoir que le système mondial va œsnap reflue le risque de manquer des fenêtres cruciales pour relever les défis urgents. Sur les questions clés telles que l'économie, l'environnement, la technologie et la santé publique, les intervenants doivent trouver des moyens d'agir rapidement et avec un but dans un paysage mondial déstabilisé. Tel est le contexte dans lequel le Forum économique mondial publie la 15e édition du Rapport mondial des risques. [googletranslate_fr]
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Solving the skills puzzle: The missing piece is good information
Chaque jour, les Canadiens à faire des choix qui influent sur leur carrière et leur vie, et les entreprises à faire des choix qui affectent leurs organisations. Des informations précises, opportunes et pertinentes est nécessaire pour assurer que ces décisions soient bien informées. Cependant, l'évolution récente (y compris les changements technologiques) ont créé des lacunes d'information dans le domaine des compétences et des compétences requises pour les emplois. Même les compétences requises pour de nombreux emplois traditionnels sont en train de changer et les employeurs signalent des difficultés à trouver des travailleurs ayant les compétences nécessaires pour combler les postes vacants dans les industries anciennes et nouvelles. De même, les travailleurs luttent pour comprendre les compétences nécessaires à l'évolution des emplois et manquent souvent les outils et les connaissances pour répondre à ces nouvelles exigences. Comment les travailleurs et les employeurs du sens de ce marché du travail, qui est de plus en plus tirée par l'offre et la demande de compétences, par opposition aux qualifications des diplômés? [googletranslate_fr]
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The great skills divide: A review of the literature
Les discussions de l'écart de œskills soi-disant Canada ont atteint un pas de fièvre. Poussé par des rapports et des données contradictoires, la conversation ne montre aucun signe de ralentissement. D'une part, les indicateurs économiques couramment utilisés pour identifier les points lacunes à des problèmes limités à certaines professions (comme les professions de la santé) et certaines provinces (comme l'Alberta) plutôt que d'une crise générale des compétences. D'autre part, les employeurs continuent de signaler une inadéquation entre les compétences dont ils ont besoin dans leurs lieux de travail et ceux possédés par les demandeurs d'emploi et aux préoccupations de voix que le système d'éducation postsecondaire ne sont pas les étudiants diplômés possédant les compétences dont ils ont besoin. Cet article est le premier de trois sur l'écart des compétences du Canada. Il donne un aperçu des points de vue contradictoires sur l'existence et l'étendue d'un fossé entre les compétences et diplôme d'études postsecondaires possèdent les employeurs veulent. En présentant les points de vue divergents sur cette question, le rapport identifie quatre thèmes distincts qui ont été amalgamés dans les débats politiques, à leur tour, entravant les efforts pour obtenir une meilleure compréhension de l'écart de compétences au Canada. Par exemple, dans les yeux de certains employeurs et les commentateurs, les compétences problème de l'écart est l'un des trop peu de travailleurs hautement qualifiés sur le marché du travail canadien. Pour d'autres, il est un problème de faibles compétences essentielles ou souples, telles que travailler avec les autres, la communication orale et la résolution de problèmes. D'autres encore utilisent le terme œskills écart de se référer à ce qui pourrait être mieux décrit comme un écart de œexperience - une pénurie d'employés de œwork prêts possédant les compétences acquises par l'expérience professionnelle. Commentaire sur l'écart des compétences a eu tendance à regrouper ces perspectives différentes et cela a agi comme un obstacle à un récit cohérent autour de compétences au Canada. Ce rapport suggère que ces thèmes devraient être reconnus comme distincts les uns des autres. En encadrant l'écart des compétences du Canada de cette façon, nous avons mis en scène pour les deuxième et troisième articles de cette série, qui documentent les attentes des employeurs canadiens en ce qui concerne les niveaux de compétence des nouveaux recrutements de jeunes diplômés. Dans aborder la question du manque de compétences à son interface - le premier point de contact entre les employeurs et les nouveaux diplômés dans les annonces et les processus d'embauche pour les emplois d'entrée - rapports dans cette série offrent de nouvelles opportunités pour les groupes à la fois sur la demande (les employeurs) et côté de l'offre (postsecondaire) du débat sur les compétences pour renforcer l'alignement fossé entre le secteur postsecondaire et le marché du travail canadien. [googletranslate_fr]
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Canada's colour coded income inequality
La population canadienne est de plus en plus racialisée. Le recensement 2016 a compté 7,7 millions de personnes racialisées au Canada. Ce nombre représente 22% de la population, en forte progression de 16% seulement dix ans plus tôt. Malheureusement, la croissance rapide de la population racialisée n'est pas compensée par une augmentation correspondante de l'égalité économique. Ce document utilise des données du recensement de 2016 pour peindre un portrait de l'inégalité des revenus entre les Canadiens racialisés et non racialisés. Il se penche également sur la discrimination sur le marché du travail auxquels sont confrontés les travailleurs racialisés en 2006 et 2016. travailleurs racialisés sont plus susceptibles d'être actifs dans la population active que les travailleurs non racialisés, soit en travaillant ou en essayant de trouver du travail, mais cela ne donne pas lieu à un meilleur emploi résultats pour eux. De 2006 à 2016, il y avait peu de changements aux habitudes de l'inégalité de l'emploi et des revenus le long des lignes raciales et de genre au Canada. Dans l'ensemble en 2016, la population racialisée avait un taux de chômage de 9,2% par rapport au taux de non racialisés de 7,3%. Les femmes racialisées avaient le taux de chômage le plus élevé à 9,6%, suivi par les hommes racialisés à 8,8%, les hommes non racialisés à 8,2%, et les femmes non racialisées à 6,4%. En 2015, les hommes gagnaient racialisées 78 cents pour chaque dollar que les hommes non racialisés gagnés. Cet écart salarial est resté inchangé depuis la discrimination sur le marché 2005.Labour continue d'être et racialisée sexuée. Les femmes racialisées ont gagné 59 cents pour chaque dollar que les hommes non racialisés gagnés, alors que les femmes non racialisées gagnaient 67 cents pour chaque dollar que les hommes non racialisés gagnés. Peu de progrès ont été accomplis pour réduire cet écart au cours de la période de 10 ans. Ce document a également examiné les différences de revenus de la richesse entre la population racialisés et non racialisés. L'écart racialisés des gains en capital est clair: 8,3% de la population racialisée sur l'âge de 15 gains en capital déclarés, comparativement à 11,9% de la population non racialisée. Et le montant moyen des gains en capital des Canadiens non racialisés (13974 $) est 29% plus élevé que le montant moyen pour les Canadiens racialisés (10828 $). Revenu de placement montre un motif similaire: 25,1% de la population racialisée plus de 15 ans ont déclaré un revenu d'investissement, par rapport à 30,8% de la population non racialisée. Le revenu de placement moyen pour la population non racialisée (11428 $) est de 47% supérieur à la moyenne de la population racialisée (7774 $). Ces données donnent un aperçu des différences probables de richesse entre les Canadiens racialisés et non racialisés. Ces aspects de l'inégalité des revenus, de l'emploi et de la richesse, sont également visibles dans l'inégalité des revenus familiaux. Les données montrent que les personnes racialisées sont plus susceptibles d'être dans les familles dans la moitié inférieure de la répartition des revenus (60%) que les personnes non racialisées (47%). Cet article explore également la relation entre les revenus course, l'immigration et l'emploi. Nous avons vu que les immigrants non racialisés font mieux sur le marché du travail canadien, et mieux faire plus tôt, que les immigrants racialisés font. De plus, l'inégalité des revenus entre les Canadiens racialisés et non racialisés s'étend à la deuxième et troisième générations - et au-delà. Il est clair que l'immigration n'est pas le seul problème. Parmi le premier âge (25-54 ans) les travailleurs, les hommes immigrants racialisés ont gagné 71 cents pour chaque dollar que les hommes immigrés non racialisés gagnés. les femmes immigrantes racialisées ont gagné 79 cents pour chaque dollar que les femmes immigrantes non racialisés gagné. Ces lacunes continuent dans la deuxième génération et au-delà. les hommes racialisés de deuxième génération ont gagné 79 cents pour chaque dollar que les hommes non racialisés de deuxième génération ont gagné. Deuxième génération des femmes racialisées gagnaient 96 cents pour chaque dollar que les femmes de deuxième génération non racialisées gagné. Notre analyse montre également l'importance de comprendre les obstacles distincts sur le marché du travail auxquels sont confrontés les différents groupes racialisés. Les deux femmes MENAND qui ont identifié comme Black avaient des taux de participation de la population active plus élevés que leurs homologues non racialisés. Cependant, ils ont aussi un taux de chômage plus élevés et plus importants écarts de salaires que la moyenne pour l'ensemble des travailleurs racialisées. Les hommes qui se sont identifiés comme des Philippines avait beaucoup plus faibles taux de chômage que la moyenne des travailleurs racialisés et encore eu un écart plus important des bénéfices, alors que les femmes qui ont identifié comme Philippins avaient des taux de chômage plus faible et un écart salarial moindre que la moyenne racialisée. Aborder la discrimination sur le marché du travail auxquels sont confrontés les travailleurs racialisés exigera une meilleure compréhension du racisme et les différentes façons, il se manifeste sur le marché du travail. Que sa compréhension des besoins à utiliser la politique de forme. Pris ensemble, les données indiquent un modèle sans équivoque de l'inégalité économique racialisés au Canada. En l'absence de politiques audacieuses pour lutter contre le racisme, cela montre l'inégalité économique aucun signe de disparition. [googletranslate_fr]
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Immigrant medium earnings by year of landing
L'année de débarquement des gains semble de prédire le niveau et la trajectoire du salaire médian et le salaire (W & S) des immigrants au Canada: Pour les immigrants qui sont arrivés dans les années 1990 à 2010, les gains W & S sont similaires dans la première année de participation au marché du travail canadien (variant entre 18 000 $ et 24 000 $ en $ constants 2012); ï, · Pour chaque cohorte année de débarquement, la rémunération médiane W & S augmentent en termes réels en raison, au moins en partie, à la croissance de la productivité attribuable à l'expérience du marché du travail au Canada; et ï, · médian W & revenu S d'une cohorte année de débarquement donné attraper rarement à la rémunération W & S médian d'une cohorte plus tôt. [googletranslate_fr]
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Sharing economy or on-demand service economy? A survey of workers and consumers in the greater toronto area
Ce rapport présente le premier instantané de indepth des travailleurs et des consommateurs qui se considèrent comme participant à l'économie œsharing dans la région du Grand Toronto (RGT). Il examine également qui fournit des services dans ce secteur, les conditions de leur travail et la perception du public de la nécessité de modifier les règlements pour suivre ce nouveau secteur. [googletranslate_fr]
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Persistent inequality: Canada's colour-coded labour market
Dans cet article, nous présentons un portrait du marché du travail code couleur de l'Ontario de 2016 (les dernières données disponibles) et de le comparer à la façon dont les choses étaient en 2006. Dans l'ensemble, il y avait 3,9 millions de personnes racialisées vivant en Ontario en 2016, ce qui représente 29 % de la population de l'Ontario - une augmentation notable de 23% de la population en 2006. travailleurs racialisés en Ontario avait un taux de participation de la population active légèrement plus élevé que les travailleurs non racialisés (65,3% contre 64,5%) en 2016. Toutefois, les Ontariens racialisés continue à des taux de chômage plus élevés. Les femmes racialisées avaient le taux de chômage le plus élevé à 10%, suivi par les hommes racialisés à 8,7%, les hommes non racialisés à 7%, et les femmes non racialisées à 6,3%. Une répartition du travail de la main-d'œuvre met en lumière l'écart et racialisés sexuée du marché du travail. Les femmes racialisées étaient plus susceptibles d'être dans les professions les moins rémunérés. La part des femmes racialisées (25,1%) travaillent dans les professions qui sont les 10% du salaire moyen était de 66% plus élevé que la part des hommes non racialisés (15%). Les femmes non racialisées étaient légèrement moins susceptibles de travailler dans ces professions à bas salaires que les femmes racialisées (23,6%). La part des hommes racialisées dans ces professions les moins bien rémunérés (17,8%) était plus élevé que la part de ces modèles sont inversés pour les professions qui paie dans les 10% du salaire moyen des hommes non racialisés (15,1%). 11% des les hommes non racialisés travaillaient dans ces professions les mieux rémunérés, suivis de 8,8% des hommes racialisées, 5,7% des femmes non racialisés, et 5,5% des femmes racialisées. En bref, l'écart racialisés se trouve à la fois le fond et la partie supérieure de la distribution professionnelle. Ces expériences sur le marché du travail contribuent à l'écart salarial persistant: En 2015, les hommes racialisées gagnaient 76 cents pour chaque hommes non racialisés dollar gagné. Les femmes racialisées gagnaient 85 cents pour toutes les femmes non racialisées dollar gagné. Ces lacunes sont restées pratiquement inchangées depuis 2006. Les bénéfices reste du travail de discrimination sur le marché sexuelles et raciales: les femmes racialisées gagnaient 58 cents pour chaque hommes non racialisés dollar gagné. Il y a eu peu de progrès pour combler l'écart salarial entre les hommes et les femmes. Les femmes non racialisées gagnaient 69 cents pour chaque hommes non racialisés dollar gagné. Les femmes racialisées ont gagné 77 cents pour chaque dollar gagné hommes racialisés. Nous explorons aussi l'idée que les travailleurs racialisés dans le pire tirent marché du travail parce que beaucoup d'entre eux sont des immigrants, et tous les immigrants lutte avant de décrocher un bon travail. Nos résultats démontrent que tous les immigrants ont pas la même expérience. Parmi le premier âge (25-54 ans) les travailleurs, racialisées immigrants de sexe masculin gagnaient 70 cents pour chaque immigrants de sexe masculin non racialisées dollar gagné. les femmes immigrantes racialisées ont gagné 78 cents pour chaque dollar que les femmes immigrantes non racialisés gagné. Ces lacunes continuent dans la deuxième génération et au-delà. Deuxième génération des hommes racialisées gagnaient 78 cents pour chaque dollar de deuxième génération des hommes non racialisés gagnés. Deuxième génération des femmes racialisées gagnaient 64 cents pour chaque dollar hommes nonracialized deuxième génération gagné. Ces résultats soulignent la nécessité de l'Ontario pour faire face à la vérité inconfortable que son marché du travail ne soit pas accueillant également à tous les immigrants. Ils indiquent également que les différences dans les résultats des immigrants ne sont pas basées uniquement sur les niveaux d'éducation et les compétences linguistiques, mais aussi sur la racialisation. Les données illustrent également l'importance de comprendre les obstacles distincts sur le marché du travail auxquels sont confrontés les différents groupes racialisés. Il aremany des exemples qui illustrent ces différences. Les hommes et les femmes qui ont identifié comme Black avaient des taux de participation de la population active plus élevés que leurs homologues non racialisés. Cependant, ils ont aussi un taux de chômage plus élevés et plus importants écarts de salaires que la moyenne pour l'ensemble des travailleurs racialisées. Les hommes qui se sont identifiés comme Philippins avaient des taux de chômage beaucoup plus bas que les travailleurs nonracialized et avait encore un écart plus important des bénéfices; tandis que les femmes qui ont identifié comme Philippins avaient des taux de chômage plus faible et un écart salarial moindre que la moyenne racialisée. Les hommes et les femmes qui ont identifié comme l'Amérique latine ont enregistré des taux de chômage plus faibles et des écarts plus importants de bénéfices que la moyenne pour l'ensemble des travailleurs racialisées. Aborder la discrimination sur le marché du travail auxquels sont confrontés les travailleurs racialisés exigera une meilleure compréhension du racisme et les différentes façons, il se manifeste sur le marché du travail pour les différents groupes racialisés. Que sa compréhension des besoins à utiliser pour la politique de forme pour répondre à ces différents obstacles et les formes de discrimination. La ligne de fond: nous attendons toujours de nouvelles politiques audacieuses pour combler l'écart persistant entre les hommes et les femmes racialisées et non racialisées en Ontario. Jusqu'à ce que nous attaquons les obstacles à l'équité en matière d'emploi et à un travail décent, l'écart de revenu racialisée de l'Ontario est peu susceptible d'aller [googletranslate_fr]
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Canada's colour coded labour market
Les dernières données disponibles de cencus avant que le gouvernement fédéral a annulé long obligatoire du pays révèle une tendance de recensement troublant au Canada. Malgré des années de croissance économique et une population de plus en plus diversifiée sans précédent, ce rapport confirme ce que tant de Canadiens ont vécu dans la vie réelle: un code de couleur est encore au travail sur le marché du travail canadien. Racialized1 Canadiens rencontrent un code de couleur persistante qui les bloque de meilleurs emplois bien rémunérés notre pays a à offrir. Ce rapport utilise 2006 sous forme de temps les données du recensement pour comparer les tendances de travail et de revenus entre les racialisées et les Canadiens non racialisés à l'apogée du boom économique. Il constate que, même dans le meilleur des temps économiques, l'écart salarial entre racialisés et non racialisés Canadiens est importante: les Canadiens racialisés ne gagnent que 81,4 cents pour chaque dollar versé aux Canadiens non racialisés. L'écart de revenu provient des disparités dans la répartition des bons emplois rémunérateurs plus sûrs. Les données démontrent que les Canadiens racialisées ont des niveaux légèrement plus élevés de participation au marché du travail, mais ils continuent de connaître des taux de chômage et un revenu plus faible que les Canadiens non racialisés. Le travail qu'ils sont en mesure d'atteindre est beaucoup plus susceptible d'être précaire, temporaire et peu rémunérateurs. Par exemple, ce rapport montre que les Canadiens racialisés sont surreprésentés dans toute une gamme de services aux entreprises traditionnellement peu rémunérés allant des centres d'appels aux services de sécurité aux services de conciergerie, tandis que les Canadiens non racialisés sont pas.Le données montrent que s'il y a du travail à faire, les Canadiens racialisés sont disposés à le faire: 67,3% des Canadiens racialisés de la population active - un peu plus élevé que les Canadiens nonracialized (66,7 __gVirt_NP_NN_NNPS<__%). Bien qu'ils sont plus disposés à travailler, tous les groupes racialisés - à l'exception de ceux qui identifient comme japonais et philippin - ont tendance à se retrouver sur la ligne de chômage plus souvent que les Canadiens non racialisés. les hommes racialisés sont 24% plus susceptibles d'être au chômage que les hommes non racialisés. Les femmes racialisées ont pire: ils sont 48% plus susceptibles d'être au chômage que les hommes non racialisés. Cela peut contribuer au fait que les femmes racialisées gagnent 55,6% du revenu des hommes non racialisés. Les données du recensement précise: Entre 2000 et 2005, au cours de l'une des meilleures périodes de croissance économique pour le Canada, les travailleurs racialisées ont contribué à cette croissance économique, mais ils ne bénéficient pas des avantages. En moyenne, les revenus canadiens non racialisées ont légèrement augmenté (2,7%) au cours de cette période - les gains de revenu compte tenu de l'économie tiède a augmenté de 13,1%. Mais le revenu moyen des Canadiens racialisés a diminué de 0,2%. Et c'était avant la récession a frappé le Canada en 2008. Les résultats soulèvent des questions troublantes au sujet de l'un des groupes les plus dynamiques dans la société canadienne. La composition démographique du Canada est en train de changer rapidement, mais les politiques du marché du travail sont à la traîne. Dans les années 1980, les groupes racisés représentaient moins de 5% de la population du Canada. Par le recensement de 2001, racialisés Les Canadiens représentaient 13,4% de la population. Entre le recensement de 2001 et la prise 2006, cette population a augmenté de 27% - cinq fois plus vite que le taux de croissance de la population canadienne. En 2006, 16,2% de la population est venue d'un groupe racialisé. En 2031, on estime les Canadiens racialisés composeront 32% de la population. la composition démographique du pays est en pleine mutation. Si le marché du travail continue aux travailleurs reléguer des groupes racisés à l'arrière du peloton, le nombre de Canadiens laissés en arrière qu'accélérer - remettre en cause la promesse que le Canada est une société juste et bienveillante engagée à l'égalité des chances, peu importe qui vous êtes et d'où vous venez. explications par défaut comme œIt prend un certain temps pour les immigrants à intégrer ne portent pas. Même lorsque vous contrôlez l'âge et de l'éducation, les données montrent la première génération racialisée hommes canadiens ne gagnent que 68,7% de ce que non racialisés de première génération d'hommes canadiens gagnent, ce qui indique un code de couleur est fermement en jeu sur le marché du travail. Ici, l'écart entre les sexes - en jeu dans tout le spectre - devient inquiétante grande: les femmes racialisées immigrés ne gagnent que 48,7 cents pour chaque immigrants de sexe masculin non racialisées dollar gagner. Le code de couleur pour la deuxième génération persiste Canadiens ayant fait des études et d'âge. Le goulet d'écart, avec les femmes racialisées font 56,5 cents par dollar hommes non racialisés gagnent; tandis que les hommes gagnent racialisées 75,6 cents pour chaque dollar hommes nonracialized dans cette cohorte gagnent. Tout en prenant note de nombreuses similitudes entre les différents groupes racialisés, le rapport met également en évidence quelques différences. Par exemple, l'écart de rémunération varie de 69.5cents par dollar pour ceux qui identifient comme coréens à 89 cents par dollar pour ceux qui identifient comme chinois. Ce rapport rend la racialisation continue de la pauvreté au Canada. Les taux de pauvreté pour les familles racialisées sont trois fois plus élevés que les familles non racialisées. En 2005, 19,8% des familles racialisées vivaient dans la pauvreté, comparativement à 6,4% des familles non racialisées. Enfin, le rapport établit les liens entre les emplois à faible revenu, la racialisation de la pauvreté, et les impacts à la fois avoir sur la santé des Canadiens racialisées. [googletranslate_fr]
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Global education for Canadians: Equipping young Canadians to succeed at home & abroad: executive summary and recommendations
Ce rapport explique pourquoi le Canada a besoin pour traiter l'apprentissage international comme une priorité nationale et esquisse les éléments d'une stratégie canadienne. Section 2, Pourquoi Global Education Matters - maintenant plus que jamais, met en évidence l'importance de la mobilité des étudiants sortant dans un monde en évolution rapide. Section 3, Canada - au point mort tandis que d'autres la course en tête, se penche sur ce que font les autres pays et montre comment le Canada est en baisse court. Section 4, Une stratégie mondiale d'éducation pour le Canada, suggère des éléments d'une stratégie canadienne basée sur les principales conclusions de Canada et les expériences des autres pays du Groupe d'étude. Section 5, Agir: une approche pancanadienne, décrit ce que le gouvernement, les établissements d'enseignement, le secteur privé et d'autres parties prenantes doivent faire pour mettre la stratégie en vigueur. Un résumé des recommandations est fournie à la fin. [googletranslate_fr]