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The great skills divide: A review of the literature

Les discussions de l’écart de œskills soi-disant Canada ont atteint un pas de fièvre. Poussé par des rapports et des données contradictoires, la conversation ne montre aucun signe de ralentissement. D’une part, les indicateurs économiques couramment utilisés pour identifier les points lacunes à des problèmes limités à certaines professions (comme les professions de la santé) et certaines provinces (comme l’Alberta) plutôt que d’une crise générale des compétences. D’autre part, les employeurs continuent de signaler une inadéquation entre les compétences dont ils ont besoin dans leurs lieux de travail et ceux possédés par les demandeurs d’emploi et aux préoccupations de voix que le système d’éducation postsecondaire ne sont pas les étudiants diplômés possédant les compétences dont ils ont besoin. Cet article est le premier de trois sur l’écart des compétences du Canada. Il donne un aperçu des points de vue contradictoires sur l’existence et l’étendue d’un fossé entre les compétences et diplôme d’études postsecondaires possèdent les employeurs veulent. En présentant les points de vue divergents sur cette question, le rapport identifie quatre thèmes distincts qui ont été amalgamés dans les débats politiques, à leur tour, entravant les efforts pour obtenir une meilleure compréhension de l’écart de compétences au Canada. Par exemple, dans les yeux de certains employeurs et les commentateurs, les compétences problème de l’écart est l’un des trop peu de travailleurs hautement qualifiés sur le marché du travail canadien. Pour d’autres, il est un problème de faibles compétences essentielles ou souples, telles que travailler avec les autres, la communication orale et la résolution de problèmes. D’autres encore utilisent le terme œskills écart de se référer à ce qui pourrait être mieux décrit comme un écart de œexperience – une pénurie d’employés de œwork prêts possédant les compétences acquises par l’expérience professionnelle. Commentaire sur l’écart des compétences a eu tendance à regrouper ces perspectives différentes et cela a agi comme un obstacle à un récit cohérent autour de compétences au Canada. Ce rapport suggère que ces thèmes devraient être reconnus comme distincts les uns des autres. En encadrant l’écart des compétences du Canada de cette façon, nous avons mis en scène pour les deuxième et troisième articles de cette série, qui documentent les attentes des employeurs canadiens en ce qui concerne les niveaux de compétence des nouveaux recrutements de jeunes diplômés. Dans aborder la question du manque de compétences à son interface – le premier point de contact entre les employeurs et les nouveaux diplômés dans les annonces et les processus d’embauche pour les emplois d’entrée – rapports dans cette série offrent de nouvelles opportunités pour les groupes à la fois sur la demande (les employeurs) et côté de l’offre (postsecondaire) du débat sur les compétences pour renforcer l’alignement fossé entre le secteur postsecondaire et le marché du travail canadien. Traduit à l'aide de Google Translate