Journal Article

Ce document présente la position de l'état-de-l'art du domaine de l'engagement en milieu de travail. Cependant, l'engagement en milieu de travail pour rester pertinent, il est nécessaire de regarder au-delà la pratique actuelle et aux tendances extrapoler à imaginer ce qui sera nécessaire dans la recherche future. Par conséquent, le but de cet article est double, d'abord, de consolider notre compréhension actuelle de l'engagement en milieu de travail dans les milieux de travail contemporains et, d'autre part, de se pencher sur l'avenir en identifiant et discuter des pistes de recherche future. Représentant de la nature changeante du travail, nous l'engagement en milieu de travail conceptualiser explicitement référence à (A) « travail temporaire », et (B) « travail transfrontalier ». Progresser de ces deux thèmes, des avancées conceptuelles, théoriques et méthodologiques du champ sont discutées. Le résultat est l'identification des 10 grandes voies de recherche pour exerce son activité, un programme commun pour la plupart des directions prometteuses et nécessaires pour les recherches futures et des recommandations pour la façon dont ceux-ci se traduiront en pratique. [googletranslate_fr]

En redistribuant les avantages compétitifs entre pays industrialisés et pays à bas coûts et en bouleversant ainsi les positions établies, les défis du climat, de l'énergie ou encore de la digitalisation constituent de véritables opportunités pour l'industrie française. Les mutations technologiques, économiques, sociales et environnementales en cours et à venir ont le potentiel d'enrayer la dynamique infernale de la désindustrialisation qui frappe si sévèrement notre pays depuis plusieurs décennies. Mieux : ces mutations peuvent signer l'avènement d'une France industrielle à nouveau conquérante, et plus encore que par le passé, car cette France industrielle sera plus compétitive, plus innovante et plus attractive. À nous, les acteurs publics et privés, d'accompagner et de garantir une transition réussie et heureuse vers l'industrie de demain en agissant sur trois leviers déterminants : l'investissement dans l'innovation, la transformation interne des entreprises et la construction de l'Europe industrielle.

Nous utilisons du recensement et l'Enquête sur la population active (EPA) de données pour la période 1971-2012 afin de déterminer si les salaires canadiens et les structures d'emploi ont polarisé, qui est, si les salaires et l'emploi ont augmenté de plus en haute et basse que dans intermédiaire payer des professions. Nous constatons qu'il ya eu croissance plus rapide de l'emploi dans les professions hautement et faiblement rémunérés que ceux du milieu depuis 1981. Cependant, jusqu'en 2005, le modèle salarial reflète une simple augmentation des inégalités avec une plus grande croissance de salaire élevé que professions intermédiaires rémunérés et de la croissance au milieu que les professions faiblement rémunérés. Depuis 2005, il y a eu une certaine polarisation, mais il est présent que dans certaines régions du pays et semble être davantage lié à l'essor des ressources que le changement technologique. Nous présentons les résultats pour les États-Unis de fournir un point de repère. Les modèles canadiens correspondent à ceux aux États-Unis et d'autres pays en dehors des années 1990, lorsque la polarisation des salaires des États-Unis ne voit pas ailleurs. Nous soutenons que les données canadiennes ne correspondent pas au modèle de changement technologique niveau de polarisation développé pour les Etats-Unis. 1. [googletranslate_fr]

À l’issue d’une étude de cas réalisée au sein d’un réseau de petites organisations touristiques, l’article propose une modélisation des compétences en management du développement durable mettant l’accent sur les méta-compétences qui permettent de résorber le surcroît de complexité induit au niveau organisationnel. Puis, il analyse les processus combinatoires de ressources et de compétences, internes et externes, à l’origine des nouvelles compétences observées.

« Les temps sont-Changin », un titre célèbre chanson de Bob Dylan, applique également à notre profession et de notre sujet d'étude. Technologies de l'information a toujours été un moteur de l'innovation. Ces dernières années, cependant, ont vu des innovations basées sur les TI qui ont un impact vraiment la vie de tout le monde. Tout ce qui peut être numérisé sera numérisé, et cette tendance se poursuit à une vitesse incroyable. Pour une discipline qui se penche sur la conception et l'utilisation des systèmes d'information des moments passionnants. Pourtant, il est aussi un temps plein de défis. Alors que notre discipline a beaucoup à apporter, elle est en concurrence avec d'autres disciplines pour des sujets et des idées. En outre, la portée des sujets étudiés est devenu plus large et plus large, et ainsi que nos méthodes. Alors que les premiers travaux en ingénierie des systèmes d'information et d'affaires (BISE) était souvent ses racines dans l'intelligence artificielle, les systèmes de bases de données, ou la recherche opérationnelle, la communauté a adopté de nouvelles approches pour répondre à de nouveaux types de problèmes. De nos jours, nous avons aussi un solide groupe d'universitaires travaillant principalement avec des méthodes empiriques ou des méthodes de microéconomie, pour ne citer que quelques-uns. Cette évolution vers une discipline plus multi-paradigmatique a aussi ses défis et il y avait des discussions controversées sur le chemin. [googletranslate_fr]

Cet article propose un cadre d’analyse de l’auto-évaluation comme un des dispositifs pouvant être utilisé en gestion des Ressources Humaines afin d’optimiser les compétences des collaborateurs. En effet, aujourd’hui la performance d’une entreprise n’est plus appréciée uniquement au travers de ratios économiques et financiers. Force est de constater que l’efficacité de la gestion des Ressources Humaines et la stratégie managériale qui l’initie sont également soulignées. Elles permettent à l’organisation de mobiliser ses compétences afin d’acquérir et de maintenir une place concurrentielle au sein d’un secteur d’activité donné. L’objet de notre recherche est d’apporter des éléments de réflexion quant aux liens indissociables existant entre l’auto-évaluation et le management par les compétences. Cette contribution s’appuiera notamment sur une étude conduite dans un secteur d’activité où l’auto-évaluation est rendue obligatoire par le législateur depuis 2002.

L'évolution des marchés du travail, l'augmentation des appels pour la sélection et l'excellence, et l'augmentation de la diversité et individualiser ont des répercussions sur la façon dont les systèmes éducatifs peuvent préparer les jeunes pour le travail, optimiser la production de connaissances, assurer l'égalité des chances, et socialiser dans l'engagement civique actif. Ce papier discute quatre tâches centrales de scolarité et examine dans quelle mesure les développements sociétaux défi de la politique de l'éducation pour réaliser les tâches à accomplir. Une attention particulière est accordée aux défis des systèmes éducatifs fortement diversifiés d'Europe sont actuellement confrontés. Les Pays-Bas et en Allemagne, par exemple, ont offert des voies à vocation professionnelle aux côtés de l'enseignement supérieur universitaire traditionnel pendant un certain temps. Mais les changements en cours aujourd'hui dans les descriptions d'emploi, principalement en raison de la constante accélération des développements technologiques, sont à l'origine d'un risque d'obsolescence des compétences qui ne peut être évitée par l'amélioration des compétences en continu et / ou d'une main-d'œuvre de requalification suffisamment souple. Surmonter les différences d'intelligence, ainsi que des différences de milieux socio-économiques, ethniques et linguistiques par l'éducation est un autre défi, comme la promotion des compétences « douces » et la conscience politique. Cet article étudie l'efficacité des systèmes éducatifs actuels pour préparer les citoyens pour une société moderne qui fonctionne. [googletranslate_fr]

Le rapport Nora-Minc sur l’informatisation de la société française date désormais de plus de quarante ans. Il comparait de manière prophétique la banque à « la sidérurgie de demain », évoquant la saturation des marchés, les excédents de production, l’insuffisance de fonds propres, les bouleversements de la télématique et de l’informatique, ainsi que les coûts de production. La révolution digitale actuelle qui touche la banque d’investissement résonne étrangement avec le diagnostic évoqué précédemment, même si elle intervient dans un contexte fondamentalement différent. De fait, la banque d’investissement a subi, au cours de la dernière décennie, un triple choc : en premier lieu, la BFI a dû faire face à une crise majeure sur la période 2007-2008 ; en second lieu, et pour partie en réponse à cette crise, les banques d’investissement ont subi un choc réglementaire massif ; enfin, comme l’a été avant elle la banque de réseau, la banque d’investissement est confrontée ?au défi de la transformation digitale. Résultant de multiples innovations sinon de révolutions technologiques, la transformation digitale est certes une source potentielle de croissance et de gains de productivité, mais elle s’accompagne inévitablement d’une mutation culturelle et d’adaptations organisationnelles qu’il convient de maîtriser.

La finance, objet global à évolution rapide, est difficile à réguler. Pourtant sa régulation est nécessaire, car elle irrigue l’économie tout entière. La crise de 2008 a rouvert d’importants chantiers de régulation et posé de nouveau, de manière aiguë, la difficulté qu’il y a à tenter de maîtriser un objet global depuis un espace politique fractionné.