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Do labour shortages exist in Canada? Reconciling the views of employers and economists

La question de savoir si les souffre de l’économie de la pénurie de main-d’œuvre du Canada a été vue tout à fait différemment par les employeurs et les économistes. La communauté d’affaires presque universellement identifie la pénurie comme un problème, en particulier pour les travailleurs qualifiés. Cette pénurie à ce jour ont été moins graves ou répandue que juste avant la récession de 2008 ne signifie pas qu’ils sont inexistants. Les économistes sont plus sceptiques, rappelant les avertissements passés de pénuries qui ne se sont pas concrétisées tout en notant que les prévisions d’activité de pénurie pourraient être motivés par l’intérêt du lobbying pour les mesures que l’offre de travail d’amplification et de mettre un couvercle sur les coûts salariaux. De plus, les données disponibles sur les postes vacants et les salaires semblent bénins, au moins au niveau national. Cet article tente de concilier ces deux points de vue apparemment opposés. Tout d’abord, il conclut que les employeurs, en tirant parti de leur expérience avec des pénuries avant la récession, ont été plus innovantes à adopter des stratégies pour accroître l’offre de main-d’œuvre. Ceux-ci consistent notamment à encourager les employés à la retraite de retard et des heures de travail plus longues (près d’un tiers de travail Albertains de plus de 50 heures par semaine). Cependant, le travail des employés titulaires plus intensivement pas viable à long terme, en particulier pour les travailleurs âgés. Beaucoup d’inquiétudes au sujet de la pénurie est basée sur la retraite imminente de la génération du baby-boom, d’autant plus que de nouvelles sources de prendre du temps de l’offre de travail à adapter. Cependant, les économistes notent que le bilan de la prévision des pénuries en fonction de la nécessité de remplacer les retraités est faible: l’Europe d’aujourd’hui est un excellent exemple d’une société plus sans une pénurie de main-d’œuvre. Le point suivant est l’existence d’un écart record entre le chômage pour les adultes et les jeunes. Cela fausse les mesures de l’offre de main-d’œuvre disponible que les économistes étudient si les employeurs ne considèrent pas les jeunes comme substituts pour les travailleurs âgés. Les raisons du niveau élevé du chômage des jeunes à une période de pénurie dans certains secteurs reflète en partie les compétences des jeunes ont acquis, en particulier leur quart de travail marqué par les collèges communautaires à l’enseignement universitaire au cours de la dernière décennie. Le chômage des jeunes est élevé parce que leur taux de participation est resté élevé, en particulier chez les adolescents et les étudiants à temps plein qui employeurs hésitent à embaucher. Pendant ce temps, la formation menée par les entreprises a pris du retard, laissant le secteur public de plus en plus responsable de la formation du capital humain. Sans surprise, les résultats du marché du travail se sont détériorées aussi. Enfin, les salaires nationaux ne sont pas nettement accéléré en raison de la croissance persistante lente du centre du Canada. Cela a masqué une nette reprise des salaires dans la plupart des provinces de l’Ouest et à Terre-Neuve. Les entreprises ont également eu recours à un large éventail d’avantages non salariaux pour inciter les gens à se joindre à eux, en partie pour éviter d’avoir à payer plus pour leurs employés en place. Traduit à l'aide de Google Translate