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The talented Mr. Robot: The impact of automation on Canada’s workforce

Les technologies émergentes, telles que l’intelligence artificielle et la robotique de pointe, ont le potentiel de changer fondamentalement notre travail et la vie quotidienne. Ces dernières années, la compréhension de la façon dont ces tendances technologiques auront un impact sur l’emploi a été à l’avant-garde de nombreux débats publics récents. Chaque semaine il semble y avoir de plus en plus d’articles libérés sur la façon dont « les robots prennent nos emplois ». Pour la plupart, cette riche discussion a été tirée par le travail de nombreux éminents universitaires et chercheurs. Sans surprise, il y a beaucoup de points de vue contradictoires. Certains soutiennent que la technologie perturbatrice sera la force motrice derrière le chômage massif. D’autres postulent que toute perte d’emploi potentiel sera probablement o-ensemble par augmentation de la productivité et la croissance de l’emploi. En dépit de l’abondante littérature, cette discussion est en grande partie lieu sans l’utilisation des données canadiennes. Bien, nous savons que les Canadiens ne sont pas à l’abri des effets de l’automatisation, et que les tendances technologiques auront probablement des conséquences énormes pour de nombreuses industries canadiennes. Mais l’écart des connaissances spécifiques au Canada signifie souvent que nous ne disposons pas des outils pour comprendre l’impact de l’automatisation au sein de nos propres frontières. Cela limite notre capacité de commencer à planifier une perturbation potentielle. Nous avons donc pensé qu’il serait utile d’appliquer les résultats de la littérature existante à la main-d’œuvre canadienne. Pour ce faire, nous avons utilisé les méthodes les deux des deux professeurs d’Oxford Carl Frey Benedikt et Michael A. Osborne et de conseil en gestion rm McKinsey & Company, qui ont été employées dans d’autres juridictions, et les appliquer à la fois aux données canadiennes pour la première fois. Notre objectif est d’aider les Canadiens à mieux comprendre les effets que l’automatisation peut avoir sur notre force de travail. Dans l’ensemble, nous avons constaté que près de 42 pour cent de la population active du Canada est à un haut risque d’être affecté par l’automatisation dans la prochaine décennie ou deux. Les personnes exerçant ces professions gagnent moins et sont moins instruits que le reste de la population active du Canada. Alors que la littérature suggère que ces professions ne périra pas nécessairement, nous avons également découvert que restructuration des emplois se produira probablement en raison de nouvelles technologies. En utilisant une méthodologie différente, nous avons constaté que près de 42 pour cent des tâches que les Canadiens sont actuellement payés pour le faire peuvent être automatisées en utilisant la technologie existante. Mais les données ne peint pas une image totalement négative. Utilisation du système de projection des professions au Canada (COPS), nous avons constaté que les professions avec le risque le plus faible d’être affecté par l’automatisation devraient produire près de 712 000 nouveaux emplois nets entre 2014 et 2024. Comme pour tout type d’exercice de prévision, il y aura toujours à des incertitudes associées aux prévisions. Cependant, nous espérons que cette étude fournit un outil pour aider à guider l’avenir la prise de décision. Traduit à l'aide de Google Translate