The risk of automation for jobs in OECD countries: A comparative analysis
Ces dernières années, il y a eu un regain des préoccupations que l’automatisation et la puissance de digitalisation après tout résultat dans un avenir sans emploi. Le débat a été alimenté par des études pour les Etats-Unis et en Europe faisant valoir qu’une part importante des emplois est à œrisk de l’informatisation. Ces études suivent une approche métier proposée par Frey et Osborne (2013), à savoir qu’ils supposent que les professions entières plutôt que de simples emplois-tâches sont automatisées par la technologie. Comme nous disputons, cela pourrait conduire à une surestimation de automatibility d’emplois, professions étiquetés comme des professions à haut risque contiennent souvent encore une part importante des tâches qui sont difficiles à automatiser. Notre article a deux objectifs. Tout d’abord, nous estimons le automatibility d’emploi des emplois pour les 21 pays de l’OCDE sur la base d’une approche basée sur les tâches. Contrairement à d’autres études, nous prenons en compte l’hétérogénéité des tâches des travailleurs au sein des professions. Dans l’ensemble, nous constatons que, en moyenne dans les 21 pays de l’OCDE, 9% des emplois sont automatisables. La menace des progrès technologiques semble donc beaucoup moins prononcé par rapport à l’approche fondée sur l’occupation. Nous constatons en outre hétérogénéités dans les pays de l’OCDE. Par exemple, alors que la part des emplois automatisables est de 6% en Corée, la part correspondante est de 12% en Autriche. Les différences entre les pays peuvent refléter des différences générales dans l’organisation du travail, les différences dans les investissements antérieurs dans les technologies d’automatisation ainsi que les différences dans l’éducation des travailleurs dans tous les pays. Traduit à l'aide de Google Translate