The place of the humanities in today’s knowledge society
Au cours des quatre dernières décennies, les sciences humaines ont fait l’objet d’une dévaluation progressive au sein du monde académique, avec des cas précoces de ce phénomène remontant aux États-Unis et au Royaume-Uni. Il y a plusieurs indices quant à la façon dont l’université a généralement placer une importance plus faible sur ces domaines, tels que par l’élimination des cours ou même des départements entiers. Il est à noter que cette discrimination à l’encontre des degrés en sciences humaines est indirecte dans la nature, car il est en fait la plupart du temps le résultat de la promotion systématique des autres domaines, en particulier, par exemple, la gestion des affaires. Un tel phénomène a néanmoins entraîné une réduction considérable du pourcentage de diplômés en sciences humaines dans un ensemble de 30 pays de l’OCDE, par rapport à d’autres régions. Dans certains pays, une baisse peut même être observée par rapport à leur nombre absolu, en particulier en ce qui concerne au doctorat degrés. Cet article met en lumière des exemples de directives politiques internationales, établies par l’OCDE et la Banque mondiale, qui ont contribué à cette dévaluation. Il jette un regard sur l’impact des ressources déclinante dans les départements universitaires des sciences humaines, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de l’université, tout en évaluant les avantages et la valeur de l’étude de ces champs. Un cas est fait qu’une société qui est supposée être idéalement fondée sur la connaissance devrait être plus perméable et accueillant aux disciplines différentes et uniques qui le produisent, plaçant juste valeur et impartiale sur ses domaines respectifs. Traduit à l'aide de Google Translate