Competency-based education: Driving the skills-measurement agenda
Dans le contexte d’une économie mondiale en évolution et les charges fréquentes d’un « déficit de compétences, » notre système éducatif fait face à plus de pression que jamais pour préparer rapidement les étudiants pour l’avenir du travail. l’éducation axée sur les compétences gagne du terrain au niveau international comme un modèle pour les étudiants diplômés avec les connaissances, les compétences et les caractéristiques nécessaires pour réussir dans une carrière donnée. Cet article explore le développement de l’éducation axée sur les compétences en Amérique du Nord et son applicabilité en Ontario, résumant entrevues avec des experts ainsi qu’un examen approfondi de la littérature. Il décrit ce que des exemples est, fournit des conseils pratiques d’éducation basée sur les compétences et offre des considérations pour les décideurs en Ontario. Comme son nom l’indique, l’éducation axée sur les compétences, ou CBE, est structurée autour des compétences, et concerne principalement ce que les élèves savent et peuvent faire. Les étudiants des programmes de travail par le matériel CBE et des évaluations, généralement en ligne et à leur propre rythme avec le soutien des conseillers du corps professoral et les évaluateurs. Alors que les programmes traditionnels visent souvent à une distribution déterminée avant de rendement des élèves (à savoir, par le classement sur une courbe), CBE adopte une philosophie qui, avec des ressources appropriées, tous les élèves peuvent éventuellement maîtriser les compétences requises. Le temps qu’il faut pour terminer un programme dépend de l’apprentissage CBE avant d’un individu, la capacité et la motivation, mais les résultats sont cohérents: Toute personne, la certification a démontré la maîtrise de tous les résultats d’apprentissage définis ou compétences. programmes CBE offrent la possibilité aux étudiants de deuxième cycle avec l’apprentissage préalable relativement rapide, rentable et les compétences nécessaires à la demande de l’employeur se rencontrent. Ce potentiel a suscité beaucoup d’intérêt aux États-Unis où le nombre de programmes a augmenté de façon exponentielle CBE au cours de la dernière décennie, en particulier dans les domaines où la pénurie de main-d’œuvre spécifiques tels que les affaires, les soins infirmiers, l’enseignement et de la technologie de l’information. CBE a été plus lente à décoller au Canada et à ce jour a été concentrée dans les professions où la maîtrise est considérée comme essentielle pour la santé publique et de la sécurité (par exemple, la médecine). Cela dit, nous voyons une utilité particulière et de promesses pour les programmes CBE pour répondre aux besoins des élèves de l’Ontario avec responsabilités familiales et professionnelles, ou les Ontariens ayant fait des études et de l’expérience de travail qui ont besoin de recyclage pour pivot ou l’avance sur le marché du travail – un groupe d’étudiants qui est actuellement mal desservis au Canada. En plus d’examiner le potentiel pour le modèle CBE pour mieux servir les apprenants à vie, les décideurs de l’Ontario et les institutions devraient envisager embrasser des éléments du modèle dans le cadre CBE des programmes traditionnels. À notre avis, les éléments les plus transférables de CBE que les élèves ontariens gagneraient à: (a) mettre davantage l’accent sur le développement des compétences, (b) la conviction que l’enseignement et l’évaluation peuvent être structurés de manière à aider tous les élèves à maîtriser les connaissances et les compétences essentielles et (c) un diplôme transparent qui donne aux diplômés une image claire de ce qu’ils savent et peuvent faire, et donne aux employeurs la preuve qu’un location prospective a maîtrisé l’ensemble des compétences reflétées dans une certaine mesure. Traduit à l'aide de Google Translate