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Closing the talent gap: Five ways government and business can team up to reskill workers

Tout au long de l’histoire, l’évolution technologique a aidé les gens à sortir de la misère et de la pauvreté, les normes de vie élevé et l’amélioration du bien-être. Le changement technologique, cependant, peut aussi perturber – rendant certaines professions et compétences obsolètes, les structures économiques troublantes et contribuent au chômage et à l’incertitude économique. L’innovation est un facteur déterminant de la productivité et la croissance économique, mais l’augmentation des moyens de productivité que moins de personnes sont nécessaires pour produire la même quantité de marchandises. Le rythme croissant du changement technologique a conduit certains à spéculer que, à l’ère numérique, la technologie pourrait détruire les anciens emplois plus rapidement que de nouveaux sont créés. Les pertes d’emplois peuvent se produire, cependant, que si l’innovation dépasse la croissance de la demande de nouveaux produits et services. De plus, le potentiel d’automatisation ne se traduit pas nécessairement dans l’automatisation réelle: la décision d’Automatiser dépend de facteurs tels que la taille de l’entreprise, la pression concurrentielle et le coût d’une machine par rapport au coût du travail humain. Ce commentaire évalue l’impact des changements technologiques sur le marché du travail du Canada au cours des 30 dernières années et met en évidence ses implications pour l’avenir proche. Si le passé est un guide, la poursuite des changements graduels peut s’attendre à la demande de compétences dans la force du travail. Ceci est une réaction naturelle du marché aux changements technologiques. Il est peu probable d’être un changement radical en matière d’emploi en raison de l’automatisation dans un avenir proche, bien que certaines industries et types de professions seront plus perturbées que d’autres. Ici, la politique publique pourrait encourager aussi bien l’automatisation et de préparer la main-d’œuvre pour la transition. Les principales conclusions sont les suivantes: Il est très peu probable que l’emploi dans les professions très sensibles à l’automatisation (35 pour cent de l’emploi au Canada) sera complètement remplacé par des machines intelligentes au cours des prochaines années. l’emploi au Canada est concentrée dans les industries qui ont un faible risque d’automatisation, avec les industries où moins d’un quart des emplois sont sensibles à l’automatisation qui représente 27,5 pour cent de l’emploi total (4,9 millions d’emplois). Les industries où plus de trois quarts des emplois sont à risque élevé de compte d’automatisation pour seulement 1,7 pour cent de l’emploi (310.000 emplois). Cela implique que l’économie diversifiée et la force du travail du Canada sont bien placés pour s’adapter aux changements technologiques rapides. Professions riches en résumé, compétences décisionnelles complexes avec un fort accent sur la créativité, la pensée critique et les compétences sociales interpersonnelles ont un risque relativement faible d’être automatisé. Une augmentation de la demande de ces compétences est probablement sur le court et moyen terme. Comme le taux d’augmentation des progrès technologiques et la numérisation infiltre les différentes professions et industries, compétences techniques spécifiques d’emploi pourraient devenir obsolètes assez rapidement. Cela indique la nécessité d’accroître les possibilités de formation continue et l’apprentissage continu. Les établissements d’enseignement comme les collèges, les écoles techniques et des programmes d’apprentissage auront probablement un plus grand rôle sur le cycle de vie de l’emploi que les gens apprennent à s’adapter aux conditions changeantes. Traduit à l'aide de Google Translate