Canadians’ shifting outlook on employment: 2020 Survey on Employment and Skills: Preliminary report
2020 Enquête sur l’emploi et des compétences, menée par l’Institut Environics de recherche en partenariat avec enquête du Centre des compétences futures et Diversity Institute de l’Université Ryerson, a été conçu pour explorer les expériences et les attitudes des Canadiens en matière d’éducation, la formation et l’emploi. L’enquête, cependant, a été réalisée au cours de la période où l’impact de la [coronavirus maladie 2019] Covid-19 en cas de pandémie sur le Canada est devenu évident. Il offre donc une première occasion d’explorer la façon dont les perspectives des Canadiens d’abord déplacé que la pandémie prit. L’enquête confirme que la pandémie ont provoqué un changement important dans les perspectives des Canadiens sur l’emploi. Il a constaté que les Canadiens n’ont pas perdu confiance en eux-mêmes ou le filet de sécurité sociale que l’impact de l’ensemble pandémie, avec 63 pour cent des Canadiens répondent qu’ils ont confiance en leurs capacités, même après l’impact de la pandémie sur l’emploi a commencé à être connu, par rapport à 61 pour cent avant cette date. La confiance était plus élevé chez ceux qui sont moins certains, ils peuvent accéder aux ressources dont ils ont besoin pour surmonter la tempête de l’emploi de la pandémie à des niveaux plus élevés d’éducation et de revenu, les travailleurs moins sûrs. Les travailleurs dire la formation des compétences contribue à leur capacité à réussir, mais la moitié de la population active du Canada n’a pas eu de compétences délivré par l’employeur de formation au cours des cinq dernières années, l’enquête a révélé. Près d’un deux travailleurs canadiens ont dit qu’ils étaient très ou assez inquiets eux-mêmes ou un membre de leur découverte de la famille immédiate ou le maintien d’une stabilité, l’emploi à temps plein après l’ensemble pandémie; les travailleurs âgés sont moins susceptibles d’être inquiet au sujet de la sécurité d’emploi (40 pour cent des personnes de 55 ans, comparativement à 56 pour cent des 25-34 ans); et les femmes (44 pour cent) sont plus susceptibles que les hommes (35 pour cent) à dire qui est maintenant un mauvais moment pour trouver un emploi où ils vivent. Traduit à l'aide de Google Translate