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Artificial intelligence, automation and work

Nous résumons un cadre pour l’étude des implications de l’automatisation et de l’IA sur la demande de main-d’œuvre, les salaires et l’emploi. Notre cadre basé sur les tâches met l’accent sur le déplacement e ff ect que l’automatisation crée des machines et AI remplacer la main-d’œuvre dans les tâches qu’il permet de réaliser. Ce déplacement e ff ect tend à réduire la demande de main-d’œuvre et les salaires. Mais il est contrecarrée par une productivité e ff ect, résultant des économies de coûts générées par l’automatisation, ce qui augmente la demande de main-d’œuvre dans les tâches non automatisées. La productivité e ff et est complétée par une accumulation de capital supplémentaire et l’approfondissement de l’automatisation (amélioration des machines existantes), les deux qui augmentent encore la demande de main-d’œuvre. Ces e ets ff compensatoires sont incomplètes. Même quand ils sont forts, l’automatisation augmente la production par travailleur plus que les salaires et réduire la part du travail dans le revenu national. La force compensatrice plus puissante contre l’automatisation est la création de nouvelles tâches de main-d’œuvre, qui réinstaure la main-d’œuvre dans de nouvelles activités et tend à augmenter la part du travail pour contrebalancer l’impact de l’automatisation. Notre cadre met également en évidence les contraintes et les imperfections qui ralentissent l’ajustement de l’économie et le marché du travail à l’automatisation et d’affaiblir les gains de productivité résultant de cette transformation: une inadéquation entre les besoins en compétences des nouvelles technologies, et la possibilité que l’automatisation est en cours d’introduction à un taux excessif, peut-être au détriment des autres technologies améliorant la productivité. Traduit à l'aide de Google Translate