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La question principale que les guides ce document est la façon dont les gouvernements se concentrent (et doivent se concentrer) sur le renforcement des compétences (éducation, formation et compétences) lors de la conception et la mise en œuvre des politiques d'innovation. Après une brève revue de la littérature, ce document suggère une typologie des sources de compétences internes / externes et individuelles / organisationnelles qui sont liés aux activités d'innovation. Cela permet d'examiner brièvement le plus des initiatives communes que les gouvernements prennent à cet égard. Le document identifie trois lacunes globales et les déséquilibres dans les systèmes d'innovation en matière d'éducation, de formation et de compétences: les niveaux insuffisants de compétences dans un système, le décalage entre les besoins à court terme des entreprises de compétences spécifiques et long temps nécessaire pour les développer et les déséquilibres entre les sources internes et externes des compétences dans les entreprises. De ceux-ci, le document contient un ensemble de critères généraux pour la (re) conception des instruments de politique face à ces tensions et les déséquilibres. [googletranslate_fr]

Cet article évalue l'effet des technologies informatiques sur l'emploi en Australie. Nous constatons que: (i) le montant total des travaux disponibles n'a pas diminué après l'introduction de technologies informatiques; et (ii) le rythme des changements structurels et le chiffre d'affaires d'emploi sur le marché du travail n'a pas accéléré l'application croissante des technologies informatiques. Un examen des études récentes qui prétendent les technologies informatiques peuvent être sur le point de causer la destruction de nombreux emplois crée plusieurs défauts majeurs avec ces prévisions. Notre explication suggérée pourquoi techno-phobie a une telle emprise sur l'imagination populaire est un parti pris humain à croire que «nous vivons dans des moments particuliers. [googletranslate_fr]

Nous étudions des changements dans la structure d'occupation en Australie entre 1966 et 2011, et l'effet de ces changements sur la répartition des gains. Profession change Exposée la polarisation des emplois (croissance des emplois de compétence haut et bas, la baisse des emplois peu qualifiés moyen) dans les années 1980 et 1990 et l'amélioration des compétences en général dans les années 1970 et 2000. Toute polarisation de l'emploi a été essentiellement un phénomène masculin. les changements occupation étaient conformes à la perte d'emplois qui ont été élevés dans l'intensité des tâches de routine. Les changements dans la composition professionnelle et les gains associés changements ont contribué de manière significative à la croissance de l'inégalité globale des gains à partir du milieu des années 1980 au milieu des années 2000. [googletranslate_fr]

véhicules autonomes (SVA) devraient réduire les accidents de la circulation, mais ils devront parfois choisir entre deux maux, comme la course sur les piétons ou de se sacrifier et leur passager pour sauver les piétons. La définition des algorithmes qui vous aideront à prendre ces décisions AVs morales est un formidable défi. Nous avons constaté que les participants dans six études Amazon Mechanical Turk approuvaient AVs utilitaire (qui est, AVs qui sacrifient leurs passagers pour le bien) et voudraient les autres à les acheter, mais ils se préfèrent rouler dans AVs qui protègent leurs passagers à tous les coûts. Les participants à l'étude désapprouvent l'application des règlements utilitaires pour et AVs seraient moins disposés à acheter un tel AV. Par conséquent, la régulation des algorithmes utilitaires peut paradoxalement augmenter les pertes en reportant l'adoption d'une technologie plus sûre. [googletranslate_fr]

Notre contribution vise à proposer un modèle définitionnel de l’expert et à souligner ses enjeux en matière de management. Nous caractérisons l’expert sur le plan cognitif et social puis confrontons ce cadre à une étude de cas. Paradoxalement, l’entreprise étudiée combine une conscience des enjeux stratégiques que représentent les experts avec une absence de gestion organisée des experts. Dans ce contexte, les experts construisent de manière auto-organisée leurs dimensions sociales et cognitives.

Le travail mobile ne peut pas être simplement exécuté « n’importe où, n’importe quand », puisqu’il implique aussi du méta-travail afin de mobiliser les ressources nécessaires à son accomplissement, et de faire face aux contraintes liées à l’environnement et aux contextes temporel et social dans lesquels il s’insère. Bien que la littérature antérieure issue des champs de la sociologie du travail, de la communication et du travail coopératif assisté par ordinateur ait déjà documenté certaines formes de méta-travail, telles que le travail d’articulation, aucun écrit ne s’est penché sur les particularités associées au nomadisme numérique, qui est une forme extrême de travail mobile permettant aux professionnels d’allier leur intérêt pour le voyage à la possibilité de travailler à distance. Dans cet article, nous présentons cinq formes de méta-travail que nous avons catégorisées en fonction de trois finalités, soit : 1) rendre le site et le mode de travail nomade effectif ; 2) assurer la coordination avec les autres et la continuité du travail à travers différents lieux, moments et projets ; et 3) fonctionner en terre étrangère et voyager. Pour chaque forme de méta-travail, nous détaillons les activités individuelles et interactionnelles impliquées. Bien que le méta-travail ne soit pas exclusif à ce type de travailleurs, il revêt un caractère « cumulatif » pour les nomades numériques, ce qui en accroît l’intensité, et soulève des questions relatives à l’invisibilité et à la responsabilité des activités qui y sont associées.

Le projet Connect d'Air Liquide France Industrie s'inscrit dans la démarche d'usine du futur du groupe Air Liquide. Il vise à mettre en place un centre d'opération et d'optimisation à distance des sites de production du groupe en France et à introduire les technologies digitales dans les métiers de la production. L'innovation ne se cantonne pas à la seule technologie. Les méthodes de travail adoptées participent elles aussi de la démarche innovante du projet. Connect est ainsi une illustration du concept émergent de Change Digital. Des technologies digitales sont développées en collaboration avec leurs utilisateurs finaux selon des méthodes expérimentales et agiles. La démarche adoptée est celle de l'innovation ouverte et collaborative pour relier les hommes et la technologie.Ces technologies ne sont pas seulement la base des outils à développer. Elles constituent également une ressource pour des actions de formation et de travail en réseau. Mais ces nouvelles façons de mener un projet soulèvent également la question de la posture et de la place de ses différents acteurs.

Avec une croissance de plus en plus de la population humaine, les niveaux de PIB et la hausse des modes de vie plus riches, consomme de plus en plus la race humaine qui conduit à une demande croissante de ressources renouvelables et non renouvelables. Par conséquent, la question de la rareté des ressources est en train d'émerger, car il est douteux que la croissance économique peut être maintenue dans un monde aux ressources naturelles limitées. Le but principal de ce travail est d'analyser le potentiel de l'industrie applications 4.0 pour réaliser une production plus durable et de créer une économie circulaire (CE). Même si l'économie est encore bloquée aujourd'hui dans un système favorisant le modèle linéaire de la production et de la consommation, des normes environnementales plus strictes, la rareté des ressources et l'évolution des attentes des consommateurs forceront les organisations à trouver des alternatives. Pour ce faire, les nouvelles technologies peuvent être utilisées pour tracer des matériaux à travers la chaîne d'approvisionnement et de suivre l'état du produit au cours de son cycle de vie. Ce développement va créer des opportunités pour accélérer la transition vers le modèle d'un CE. Des exemples de cas montrent que les entreprises commencent à exploiter le potentiel des nouvelles technologies pour réorganiser la production, les services, les modèles d'affaires ou des organisations entières d'une manière plus durable. Principales conclusions de cette recherche sont qu'il ya un grand potentiel de l'industrie 4.0 pour garantir des méthodes de fabrication plus durables ou un CE. Ceci est illustré par l'analyse des facteurs de valeur de l'industrie 4.0, le potentiel de réarranger les chaînes de valeur et les nouveaux modèles d'affaires. Dans l'ensemble, les produits intelligents et de l'industrie des technologies 4.0 pourrait générer d'importantes retombées économiques, environnementales et sociales et sont en mesure de contribuer à tendre vers un CE. [googletranslate_fr]

Dans un contexte caractérisé par la volonté d’accroître la responsabilisation individuelle des salariés dans l’acquisition et le maintien de leurs compétences professionnelles, l’utilisation du numérique apparaît aux yeux de certains décideurs comme une solution pertinente pour former leurs employés plus rapidement et en lien plus direct avec la stratégie des entreprises. Mais au-delà des principes séduisants, que montrent les expérimentations en cours ? Pour apporter des éléments de réponse, nous nous appuyons dans cet article sur une enquête qualitative réalisée auprès des apprenants et des formateurs qui ont suivi — voire, pour certains, qui ont mis en place — une formation à distance entièrement numérisée (Corporate Open Online Courses ou COOC) au sein d’une grande entreprise. Nous pointons l’importance du taux d’abandon chez les apprenants, les difficultés des formateurs à exercer leur nouveau rôle d’animateur, et soulignons les discontinuités que la numérisation de la formation induit sur les espace-temps de travail et sur les interconnaissances professionnelles. Nous montrons également que ces discontinuités ont des effets différenciés sur les capacités d’apprentissage des salariés. Grâce à l’approche par les capacités d’Amartya Sen, nous interprétons ces constats en termes de facteurs de conversion (environnementaux, sociaux, individuels). Nous soutenons que c’est l’absence de ces trois catégories de facteurs qui explique, pour les apprenants et pour les formateurs, les discontinuités rencontrées et les inégalités dans la maîtrise des nouveaux dispositifs de formation. Enfin, nous esquissons des pistes pour repenser la numérisation de la formation continue, afin de réduire les risques d’inégalités sociales cristallisées autour de ce type de dispositifs technico-pédagogiques.