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The future of work we want: A global dialogue

Le Directeur général a la scène pour l’événement de deux jours sur la base des quatre conversations.1 centenaire de la première conversation, sur le travail et la société, soulève un certain nombre de questions: Quelle est la fonction socialisante du travail? Comment la nature changeante du travail affectent la cohérence de nos sociétés? Comment le travail est d’être diversifié et entrepris dans différents contextes et quelles sont les conséquences économiques et l’impact potentiel sur notre société? La deuxième conversation a porté sur la nature et la création d’emplois. Cette situation est liée à des projections sur la quantité et la qualité de l’emploi à créer à l’avenir dans le monde entier. Au cours de la période jusqu’en 2030, la priorité était d’examiner comment la communauté internationale pourrait atteindre l’engagement exprimé dans les objectifs de développement durable de l’ONU (les ODD) pour créer le plein emploi et le travail décent pour tous d’ici 2030, ce qui est également au cœur de l’OIT mandat. La troisième conversation concernant l’organisation du travail et de la production, traitait de la question de savoir comment le travail apparaît aujourd’hui plus diversifiées et les questions relatives à la relation employeur-employé. La question est de savoir si cette relation sera la caractéristique principale d’organisation du travail à l’avenir ou si nous entrons dans un nouveau territoire, où le travail n’est plus médiatisée par une relation de travail, mais plutôt par une relation commercialisée. L’émergence des économies de la plate-forme, la diversification des formes contractuelles et de la nature de plus en plus complexe des chaînes d’approvisionnement mondiales morcelés toutes soulèvent des questions importantes sur la façon dont ces relations se développeront. La quatrième conversation, portait sur la gouvernance du travail. Les fondateurs de l’OIT ont été déplacés par des considérations de l’humanité, la justice sociale et la préservation de la paix. Ces trois principes doivent être maintenus fermement en vue que nous considérons l’avenir du travail et de la meilleure façon de gouverner le travail afin de servir la société. Enfin, et plus important encore, l’initiative du centenaire cherche à largement sonder l’opinion des acteurs clés dans le monde du travail. Il est par l’action humaine, et non pas simplement par les forces de la technologie ou de la mondialisation ou d’autres facteurs externes, que l’avenir du travail sera forgé. Traduit à l'aide de Google Translate